Nayra: Kehlani j'y vais, je rentre tard ce soir. Si tu as besoin de quelques choses tu m'appelles. Elle dit en rentrant dans ma chambre.Ça fait plus d'une semaine que j'ai la grippe, donc une semaine de cours à rattraper.
Kehlani : Okay.
Depuis la dernière fois c'est un peu froid avec ma mère. Elle n'est pas venu s'excuser pour ces propos. Elle fait comme ci de rien n'était et ça m'énerve à un point.
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J'étais dans mon salon entrain de regarder la télé lorsque ça sonne à la porte.
Je me lève et me dirige vers la porte puis l'ouvre.Kehlani: Mais qu'est-ce que tu fais la? Je dis en fronçant des sourcils.
Marlon: Bonjour Kehlani moi aussi je suis content de te voir. Il dit en rentrant.
Kehlani: Oui pardon, mais je ne m'attendais pas à te voir. je le suis dans le salon.
Marlon: Ça fait une semaine que je n'ai pas de nouvelles, tu réponds à mes messages, mais sans plus. Qu'est-ce qu'il y a?
Kehlani: Je suis grippé jusqu'au cou. Je dis en m'asseyant sur le canapé.
Marlon: hm, Ça va mieux?
Kehlani: Ouais. Je retourne à la fac demain normalement. Je dis en me pinçant les lèvres.
Il s'avance vers moi pour m'embrasser mais je recule ma tête. Il fronce les sourcils.
Kehlani: J'ai une question à te poser...
Il me regarde m'incitant à continuer.
Kehlani: Est ce que tu voulais juste coucher avec moi?
Il y'a un petit silence, puis il masse ses tempes.
Marlon: Tu insinues que j'ai profité de toi et que je vais te quitter? Il dit d'un ton dur.
Kehlani: Non-je-ne dis pas ça mais-
Marlon: Mais quoi? Parle!
Kehlani: Me cris pas dessus.
Marlon: Kehlani, parle je vais peter un plomb. Il dit en passant ses mains sur son visage.
Kehlani: Ma mère m'a dit ça la dernière fois.
Marlon: C'est pour ça qu'elle t'avait demandé de rentrer.
Kehlani: Hm. Je dis au bord larmes.
Il s'approche vers moi puis attrape mes mains.
Marlon: Kehlani. Il prend une grande inspiration. Je t'assure que je ne profite pas de toi et que je ne profiterai pas de toi. Jamais au grand jamais je ne te ferais du mal. Okay?
Kehlani: Je suis désolé pour ce que j'ai dis, je ne le pensais pas. Déjà que ma mère n'approuve pas cette relation, alors ça m'a fait cogiter.
Il me prend dans ses gros bras, musclés, réconfortant. Et lorsqu'il recule J'approche ma tête de la sienne pour l'embrasser, il arque un sourcil.
Marlon: Je suis pas un profiteur là. Il dit en effectuant une grimace.
Je lève les yeux au ciel puis attrape son visage pour l'embrasser. Cela m'a fait un bien fou, une semaine sans toucher ses lèvres putain.
***
Coucou, c'est la fin du chapitre. J'espère que vous aura plu.
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