Chapitre 8

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- Je ne peux pas le croire, tu dois te tromper Daniel................. attends un peut !!!

Daniel m'a pris la main : parfois quand on porte un livre trop prêt des yeux on ne voit que du flou, on ne peut pas le lire, tu as mal interprété les sentiments de Lucas c'est bien plus que de l'amitié qu'il éprouve pour toi, il t'adore !!!

J'ai réfléchi un instant et j'ai regardé Daniel : avec un peu de recul...................je n'aurai jamais imaginé une chose pareille, tu sais Daniel le rêve de Lucas était de devenir pilote, il a eu un Bac avec motion très bien il pouvait être accepté dans n'importe quelle université mais il a choisi le droit pour être avec moi, et quand j' y pense il a refusé d'aller au bal de fin d'année avec la plus belle fille du lycée et m'a demandé de le l'accompagner, il ne m'a jamais refusé quoi que ce soit.............. oh mon Dieu je crois que tu as raison.

Daniel : et toi ma belle ?

J'ai rougie : moi quoi ? Pour moi c'est le meilleur ami au monde, je ne peux pas imaginer ma vie sans lui !

Daniel s'est approché de moi : comment peut on être aussi belle et aussi naïve à la fois ?

Mon cœur a commencé à faire du marathon, ses yeux m'ensorcelaient, il a mis un bisou sur mon front, il m'a tiré vers lui et a mis le film en marche, je ne vous cache pas ; mes sentiments étaient au top, je n'ai jamais ressenti cela, ces bras étaient si fort, son torse était si doux, je voulais passer le reste de ma vie comme ça engloutie contre lui, après une heure de temps le sommeil a pris le dessue, je me suis endormie dans ses bras, Daniel m'a porté jusqu'à la chambre et m'a couvert, je ne me suis réveillée que le lendemain matin, j'ai regardé mon portable il était neuve heure moins vingt, je me suis étirée dans mon lit avec ce sentiment de bonheur comme si je planais, l'odeur du café qui se dégagée de la cuisine n'a fait que remplir mon pauvre cœur de joie.

J'ai pris une douche vite fait, et je suis descendu en courant, mes yeux cherché Daniel et ils n'étaient rassasiés que lorsque ils ont croisé les siens.

Daniel qui feuilletait un livre : bonjour marmotte !

J'ai rougie : bonjour, c'est les médocs, ils ont un effet de somnolence !

Il s'est levé de sa chaise les yeux pleins de compassion : je plaisentais seulement avec toi ! ( il a pris mon visage entre ses deux main), je m'excuse si...............................

- Ne t'en fais pas, je sais que tu l'as dit spontanément, qu'est ce que tu nous as préparé de bon j'ai une fin de loup ?:

Il m'a pris par la main et m'a fait assoir : il n' y a que des bons trucs, après le petit déjeuné on sort, j'ai hâte de faire du ski !

Je lui ai souri : tout ce que tu voudras !!!

un cœur de tropOù les histoires vivent. Découvrez maintenant