Chapitre 11

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Une semaine s'est écoulée et je n'avais toujours pas de nouvelles de Daniel, je ne savais pas quoi faire, je frôlais la dépression, ce qui me tuerait c'est que ne savais même pas ce qui s'était passé, des idées de toutes sortes tournaient dans ma tête mais je ne savais plus quoi penser.

J'étais dans ma chambre quand Sofie a fait irruption ;

Sofie : écoutes tu ne vas surement pas refuser cette fois, habilles toi on va sortir faire des emplettes.

- Ah non Sofie, je t'en supplie, je n'ai pas le moral.

Elle s'est allongée prés de moi et sa voix est devenue plus douce : tu n'as toujours pas de nouvelles de lui ?

Je me suis relevée : non, je vais devenir folle, à ton avis que s'est il passé ?

Sofie s'est relevée à son tour : tu m'as dis qu'il avait son portable dans la main, il a surement eu une mauvaise nouvelle, quelqu'un de sa famille qui est mort par exemple ?!!

- Mais si c'était le cas il aurait pu me le dire, non ?

Sofie : tu as vérifié sans facebook ?

- Les dernières publications remontent à la dernière journée que nous avons passé ensemble, c'est une photo de lui et moi ou il avait écrit mon poussin doré (j'ai éclaté en sanglot)

Sofie m'a pris dans ses bras : patientes encore un peut on aura peut être des nouvelles bien tôt.

- Et si je ne le voyais plus ? Je ne peux pas supportais cette idée, je l'aime Sofie je l'aime temps, je l'ai temps attendu je ne veux pas le perdre.

Une autre semaine s'est écoulée, je me promenais avec Lucas dans le parc quand il est allé nous acheté des hotdogs, j'ai pris mon portable et j'ai essayé de rappeler Daniel sur son portable qui était hors champs depuis notre dernière journée ensemble ; mon cœur a failli s'arrêté le téléphone sonnait, mais c'est une voix d'une femme que j'ai eu au bout du fil, je ne savais pas quoi dire : bon......... bonjour, ce n'est pas le téléphone de Daniel ?

La femme : si c'est bien sans portable mais je m'excuse il ne peut pas vous répondre pour le moment.

Ma main tremblait ma voix se fessait toute petite : est ce que je peux savoir qui vous êtes ?

La femme : je suis désolée je ne peux rien vous dire, il vous appellera des qu'il le pourra, au revoir !

Elle a tout de suite raccroché, je ne savais pas quoi penser, ma respiration est devenue plus vite, j'ai senti une lourdeur sur a poitrine, j'ai eu un malaise, j'ai perdu conscience, je me suis réveillée à l'hôpital sous oxygène, Lucas à mes cotés.

Mon médecin traitant était debout il souriait : salut Alice, nous avons trouvé un donneur il est compatible, tu vas passer en sale d'opération dans quelque heures, nous ne pouvons plus attendre !!! 

un cœur de tropOù les histoires vivent. Découvrez maintenant