Chapitre 9

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Nous nous sommes, dirigés vers la station de ski, Daniel était comme un petit enfant, il jouait avec la neige et construisait des petit Bonhomme de neige, je prenais des photos, on s'est amusés comme des fous, mais j'ai vraiment eu peur quand il a décidé de faire une décente sur une falaise ;

Daniel : ne t'inquiètes pas je me suis bien informé sur le net, ton travail à toi consiste à filmer une vidéo, et de crier mon prénom !

J'avais vraiment peur pour lui, mais il s'est très bien tiré pour quelqu'un qui faisait du ski pour la première fois.

Apres le coup de folie de Daniel nous sommes allés dans un petit restaurant et pendant qu'on mangé nous avons entamé une discutions ;

- Mais tu es complètement dingue, mais descendre dans la falaise de la sorte ! tu m'impressionnes !

Daniel : on ne vie qu'une seule fois mon poussin, et sauter d'un pont ou faire des sauts d'altitudes me font sentir que j'existe, que je suis la et ça me donne des elles, j'ai l'impression de voler, de toucher le ciel !

J'ai mis ma main sur ma joue : tu as de la chance, je ne pourrai jamais faire des choses pareilles même si je le voulais.

Daniel : crois moi mon poussin, tu le feras un de ces jours.

- Je ne serai pas aussi sure si j'étais à ta place, c'est vrai que la taille de mon cœur ne grandit pas aussi vite que pendant mon enfance, mais le risque que je face un arrêt cardiaque à n'importe quelle seconde est très probable.

Il m'a pris la main : tu auras ton cœur poussin, je suis sur que tu vas l'avoir, parce que tu mérites de vivre, tu mérites d'être heureuse.

- Comme je voudrai être aussi sure que toi, je perds l'espoir jour après jour, mais bon ne gâchons pas nos vacances, fais moi gouter ton tacos il a l'air d'être délicieux.

Nous sommes rentrés exténuer, je suis montée faire un petit somme, quand je me suis réveillée il était huit heure du soir

J'ai rejoint Daniel qui regardait la télé : salut, comment vas-tu ?

Daniel : j'ai un peut de courbatures, ça fait un bon moment que je n'ai pas fait du sport, j'ai commandé du chinois, il nous reste qu'a le réchauffé au micro-onde.

Je me suis assise à ses cotés : je n'ai pas très fin pour le moment, qu'est ce que tu regardes ?

Daniel m'a regardé profondément : je suis désolé mais je voulais le faire depuis l'instant ou je t'ai revu

- Qoui................( je n'ai pas fini ma phrase quand il m'a embrassé tendrement, je pouvais entendre son pou, ses main qui tenaient mon visage tremblaient)

 Il s'est arrêté après quelque instants : je suis désolé je n'aurai pas du faire cela !

Il s'est éloigné un peut de moi et son regard est devenu distant il regardait le sol, je ne pouvais pas comprendre ce qu'il lui est arrivé, pourquoi m'avoir embrassé puis s'être retiré de la sorte, peut être qu'il avait peur de me faire du male parce que j'étais malade !

Je voulais rendre l'atmosphère plus lège : ce baiser m'a donné subitement fin, aller viens on va manger.

Il m'a souris s'est levé et m'a fait lever à mon tour, nous avons dîné en racontons des blagues, puis  nous avons regardé un film drôle « horibol boss », nous nous sommes régalé, on s'est marré.

Avant de remonter dans ma chambre je lui ai donné un bisou sur la joue et je lui ai souhaité une bonne nuit, et pendant que je montais les escaliers Daniel m'a appelé :

Daniel : Alice, merci d'être venue avec moi !

- C'est moi qui te remercie, fais de beau rêves !!!

un cœur de tropOù les histoires vivent. Découvrez maintenant