Le Poids du Destin tome 2

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--Moi? Répéta Eimear prête à écouter toutes les choses monstrueuses que cette femme avait sur le coeur à son égard.

-- C'est a cause de vous s'il se retrouve toujours à l'hôpital. Je ne comprend même pas ce qu'il vous trouve. Vous êtes une femme maudite.

Elle l'était peut être. Mais celui qui la rendait meilleure avait survécu à deux balles qu'il avait prit à sa place. Elle n'était pas si malchanceuse que ça.

-- Avoir un homme comme Jae dans sa vie ce n'est pas de la malchance. Je me considère comme béni. C'est un ange.

Elle se sentait si convainquante dans ses propos qu'elle serait prête à le crier au monde entier. Jae est une bénédiction.

-- S'il est si parfait que ça tu as intérêt à prendre soin de lui. Sinon c'est à moi que tu auras à faire.

Ses mots raisonnaient plus comme un conseille qu'une menace, elle les accepta avec sourire, Sun-hi marcha devant et Roisin en profita pour lui faire une bise en lui murmurant un à bientôt qu'elle attendrait avec joie.

Lorsqu'elle pénétra la chambre de Jae, elle le trouva assis discutant avec Tom qui esquissa un large rire en la voyant puis repartit. Elle ne bougea pas. Elle n'arrivait toujours pas à croire qu'il était en vie, qu'il avait survécu pour elle.

-- Tu vas resté là? A me regarder? Dit il avec humour.

-- Je me demandais si tu es réel, si tu es vivant et que je n'aurais plus à pleurer pour que tu survis.

-- As tu la réponse à ta question? Je ne suis pas prêt de sortir de ta vie aussi vite.

-- Ne sort pas c'est tout ce que je te demande.

-- Alors je resterai. Conclut il en capturant ses lèvres.

Deux jours plus tard.

-- Daisy aide moi à ranger les chaises s'il te plaît.

-- Oui grand mère j'arrive maman à besoin de moi à l'extérieur.

Eimear ouvrit la boîte qu'elle avait commandé pour l'occasion et sourit en voyant les lettres formant le mots bienvenu. Aujourd'hui Jae sortait de l'hôpital, Ronan était allé le récupéré. Elle avait elle même préparé une fête surprise pour lui. Daisy vient se mettre devant elle lui annonçant que tout était parfait. Il ne manquait plus que lui. Le klaxon de la Lexus de son frère les indiquaient qu'ils étaient arrivé. C'était le code. Tout le monde se plaça à l'entrée où ils le surprendront. Ce devrait être parfait. Dit elle en se mettant au milieu. Les lumières éteintes, un silence de mort, il ne vit rien venir comme c'était prévu.

-- Welcome! Disent ils en choeur.

Le visage de Jae s'illumine, il remercia tout le monde en la fesant attendre.

-- C'est maintenant que tu te souviens de mon existence? Dit elle en prenant un air triste.

-- Je dois d'abord salué les plus grand.

-- Et moi qui suis ta copine ?

Il fit mine de réfléchir.

-- Tu auras un accueille assez particulier. Je vais t'embrasser. Devant tous le monde. Dit il en menant le geste à la parole.

Il s'empara de ses lèvres, sans se soucier des autres. Elle nous ses bras autour de son cou pour approfondir le baiser. Elle l'aimait. Du plus profond de son coeur. Comme elle n'avait jamais aimé quelqu'un. Jae l'attira par la taille, faisant durer leur étreinte.

-- Allez vous passez toute vos heures a vous embrasser? Allez la nourriture va se refroidir enfin! Exclama Nuala.

La soirée c'était très bien déroulé, tout le monde était en haut à parler de tout et de rien, Daisy dormait déjà. Quand à eux, ils se retrouvaient tous les deux au bord de la plage entrelacé à admirer les étoiles comme ils l'avaient rêvé.

-- Tu veux que je te fasses un aveu? Demanda Jae en déposant sa bouche sur sa nuque.

-- Oui, je veux bien. Répondit elle en se retournant pour mieux le voir.

-- Tu te souviens de la maison au Maroc?

Elle fit oui.

-- Je comptais l'acheter pour y vivre avec toi.

Elle écarquilla les yeux.

-- Toi et moi?

-- Oui... Après que tu sois parti, j'étais persuadé que tu reviendrais et que je te forcerais à rester avec moi.

-- Et tu y es arrivé?

-- À toi de me le dire.

Pour répondre à sa question, elle déposa sa bouche contre la sienne. Un baiser langoureux, rempli d'amour, de passion, de promesse. De sa main droite, il descendit la bretelle de la robe blanche en soi qu'elle portait. Elle se retourna complètement sans se séparer de ses lèvres, passant ses bras autour de son cou afin s'enfuir ses mains dans ses cheveux. Il descendit l'autre bretelle dévoilant son sein nu, sous la belle étoile. La bouche entrouverte, jamais il ne l'avait vu aussi belle qu'en cette instant. Elle lui passa son t-shirt par dessus la tête. Posant ses mains chaude sur son torse. Elle le couvrit de baiser exactement comme il le fesait avec elle. Il se débarrassa une fois pour toute de sa robe tandis qu'elle se mettait sur lui en califourchon. Un vent frais souffla, la mère envoyait des petits jet d'eau sur eux, mais cela les emportaient peu. Tout ce qui avait de l'importance c'était le moment magique qu'ils passaient ensemble, peut être que ce sera la dernière ou peu importe. Les instants dans les bras de Jae était et resterait toujours mémorable. Il passa les mains dans son dos, sans s'arrêter. Entre elle et lui, il existait quelque chose de fort, d'inexplicable, une passion forte, enivrante. Un amour pur, sincère, aussi grand que la terre aussi puissant que pouvait être la lumière du soleil.

-- Je t'aime. Murmura t'elle en lui mordant la lobe de l'oreille.

Il la renversa et se trouva sur elle, il enleva une mèche sur son visage et vient poser ses lèvres sur les siennes une nouvelle fois.

-- Te dire Je t'aime ne veux rien dire par rapport à l'intensité de tout ce que je ressens pour toi Eimy. Tu es une femme magnifique et parfaite dans tous les sens possibles. Je suis fou amoureux de toi. Tu me rend unique parce que tu es unique. Tu représentes tout ce qui fait partie de mon être. De moi. Et je ne cesserai jamais de t'aimer peu importe si tu te trouve a des centaines ou des milliers de kilomètres de moi. Mon amour te suivra partout où tu iras peu importe si je me trouve ou pas avec toi. Il prit sa main pour la déposer sur son coeur. Tu fais partie de moi. Tu fais partie de mon coeur. Et l'unique façon de t'arracher à moi c'est de m'enlever ce coeur qui ne bat que pour toi. Mais je crains que se ne sera pas non plus possible parce que tu veux savoir une chose? Tu seras dans ma tête, mon esprit. Peu importe la durée. Je vais t'aimer comme si j'allais te perdre. Je t'aime... Je t'aime ... Je t'aime..