Je ne suis pas une voleuse. Je survie juste. Et cela depuis dès années. Alors oui, quand son regarde a croisé le miens, j'ai compris que je devais faire table rase sur mon passé. Et conduire pour survivre avec lui.
Madalena Tavares X Lando Norris
« — Super. Nous sommes dans les temps. Me dit mon assistante en regardant mon planning. Quand elle a fini ton brushing, tu enfiles la robe et tu enchaînes avec les autres. M'explique-t-elle, tandis que la coiffeuse termine mes cheveux. A 13h, je commande un taxi. Je t'apporterais ton repas. Après on vas au bureau. Je te laisserai traiter les mails que je t'ai transféré. Tu as une interview à 16h45 avec Vogue France. Je te commanderais un autre taxi pour que tu puisse rejoindre Paul. — Calme, Marion. Ris-je. Merci beaucoup d'avoir préparé ma journée. — Avec plaisir. Me sourit-elle. Oh avant que j'oublie Rosie a reçu une super offre ! Elle te l'as transféré par mail mais je crois qu'elle a déjà accepté. — Génial. Dis-je toute confiante. Rosie a toujours de bonne idée de toute façon. Oh est-ce que tu peux me faire penser à appeler Kat ? — Ouais, je note. Me dit Marion on en notant. — Madame Tavares tout est bon pour moi. Me dit la coiffeuse. — C'est magnifique. Lui dis-je en me regardant dans le miroir. Et appelez moi Madalena. »
Ma vie avait bien changer depuis presque deux ans. J'avais quitter mon boulot de charge de press pour devenir mannequin. Et ça avait tout charger. En quelques mois, mon prénom avait percé dans les grandes maisons de mode. J'avais pu créer mon entreprise, d'où le fait que j'ai une assistante et une charge de press.
Entre temps, ma sœur a accouché le 3 octobre 2022 d'une petite Cléo. Et elle s'était fiancée à l'amour de sa vie, Elina. Elles avaient prévu de ce marier en juillet 2024. Et j'étais la témoin de ma sœur.
J'avais mis la formule 1 de côté grâce au mannequinat. C'est comme ça que je l'ai rencontrer. Paul. Un réalisateur de film. Je montais les marches de Cannes pour exposer des bijoux d'une marque de luxe, quand j'ai fait connaissance avec lui. Au début, nous étions de bon ami. Il était charmant avec moi. Il me traitait comme une princesse, voir un peu trop c'est comme ça que j'ai compris qu'il avait le béguin pour moi. Et j'ai céder à ses avances. Pour l'instant, notre relation était assez discrète. Nous n'étions ensemble que depuis octobre. Et j'étais heureuse. Très heureuse même.
City, Londres 10/01, 15h13
J'avais reçu mes photos de ce matin et je les avait poster sur mon Insta. Le meilleure endroit pour me faire connaître.
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Et comme d'habitude, c'était la classe. J'avais manger très rapidement, et je m'étais enfermé dans mon bureau pour traiter mes mails. J'avais plusieurs offres de partenariat plus ou moins à mon image. Mais mon regard se pose sur mon dernier mail venant de Rosie. Rolex me veux pour représenter leur montre et les bijoux...
Je n'ai pas le temps d'ouvrir le mail pour voir les conditions de ce partenariat que mon téléphone se met à sonner.
« — Madalena Tavares au téléphone. Dis-je sans lire le nom de la personne qui m'appelle. — Ah oui, maintenant tu réponds comme ça ? Entends-je dire Kat au téléphone morte de rire. — Désolée. Ris-je a mon tour. J'avais pas vu que c'était toi. Comment va ma meilleure amie ? — Je suis au taquet ! Me réponds-t-elle. Je prépare ma rentrée dans le paddock et je suis surexcitée ! — En effet, ça s'entend. Ris-je. — Et j'ai eu une promotion. Me dit-elle. — Non ? Sérieux ! Mais trop bien Kat. Je suis trop fier de toi. — Oui ! J'ai plus de responsabilité, je vais moi même préparer mes interviews. J'aurais milles fois plus de liberté. M'explique Kat. — Vraiment c'est génial. Tu peux être fière de toi. Tu as bossé comme une folle. Sinon Pierre, ça va ? — Monsieur va bien. Il est très pressé de reprendre le volant mais il espère vraiment que la voiture soit correcte cette année. J'espère que ça sera le cas. Pour l'instant, il peux rien me dire avant le début de la saison au cas où je fais une gaffe. Me raconte-t-elle. Tu as revu ton médecin, en effet ? — Oui, Marion a pu me trouver un rendez-vous il y a quelques semaines. Lui dis-je. Et tout va bien depuis l'année dernière. Et il m'a proposé un autre moyen de contraception, je dois y réfléchir avant mais ça me semble une bonne idée. Lui informe-je, je ne voulais plus jamais revivre ce que j'ai vécu. — C'est quoi ? — Un stérilet. — D'accord. Réfléchis-y bien car ça se garde assez longtemps avant d'être retiré. — Oui, c'est ce qu'il m'a expliqué donc je vais voir. Termine-je de dire avant un long silence. — Lena ? — Oui... — J'ai une faveur à te demander. — Dis moi ? — Viens me voir pour le premier grand prix. —Kat... — S'il te plaît ! Je sais qu'il serait là mais viens pour moi. J'ai besoin de voir ma meilleure amie et j'ai un passe VIP pour trois personnes presque tous les week-ends donc s'il te plaît viens. Charles et Pierre seront super content de te voir. Sans parler de Daniel ! Daniel sauterai de joie, surtout que tu avais pas pu te libérer après son retour en formule 1. Oublie Norris. — Kat je... — En plus, je sais que tu regardes les grands prix... — Oui car je soutiens toujours Charles et Max. — Et l'autre ? Demande Kat en faisant référence à Lando. — Non. Dis-je fermement. Désolée mais je n'y retournerai pas. J'ai tourné la page, et je suis avec quelqu'un de bien. — Ouais. Si tu le dis... — Kat... Ça suffit. Paul est l'homme parfait. Tu l'as pas encore rencontré donc tu peux pas juger. — Oui c'est vrai. Admet Kat. Mais un réalisateur de film ? C'est pas un peu cliché ? Une mannequin et un réalisateur. — Mais qu'est ce que tu me sors ? Dis-je désespérée. Je m'en fiche de ce que tu me dis, car ce soir il m'a invité au restaurant. Pour un repas entre amoureux et pour me parler de son projet. Lui raconte-je. Il en a parler ce matin avec les studios. — Il fait produit un nouveau film ? — Ouais, le scénario est fini depuis déjà 2 ans, et là il attendait d'avoir ce studio là pour le produire. Ils ont beaucoup de budget, c'est pour ça. Je te tiendrai au courant. Lui informe-je avant de voir l'heure. Merde !! Cri-je. — Quoi ? Me demande Kat surprise. — J'ai une interview avec Vogue dans 15 minutes. Lui dis-je. Il faut que je me prépare. Désolée de couper court à notre conversation comme ça. — Non ne t'inquiète pas, je vais retourner travailler. Bisous Lena. — Bisous. »
