Une histoire de cadreur..[Elian x Manas] TERMINÉ

-2. Les yeux de Manas

Je me lève de mon lit, je ne sais même pas pourquoi j'ai ouvert les yeux se matin mais je l'ai fait.

Hier soir, je suis sortit de la salle de bain et Nicolas m'a jugé du regard. Je sais qu'il n'apprécie pas tant que sa ma présence mais il peut au moins être gentil.

Je me suis habillée et dirigé vers le réfectoire, je me suis assis et me suis amusé à régler la caméra. Je n'avais pas la tête à manger, la soirée d'hier m'avais déprimé.

Mes amis arrivèrent à table, directement leur question fut autour de ma nutrition. Je leur répondis simplement que j'avais manger en me préparant dans la chambre, Nicolas me regarda bizarrement.

Ils continuaient à me poser des questions plus chiante les une que les autres, sa me soûla. Je me lève et me dirige vers les écuries, on m'avait déjà soûlée hier soir si en plus maintenant personne ne me lâchait la grappe j'allais finir part m'exploser le crâne !!

Je m'assois sur une chaise dans la salle de repos et commence le montage d'une des vidéos de Maxime. Après une heure, les pilotes arrivent et commence à monter dans leur Formule 4.

Je me lève, me dirige vers Maxime et me met à le filmer comme je sais si bien faire.
Sa me déprime vraiment cette journée, j'ai l'impression que même celle des autres est en train de devenir morose.

-Elian ?

Je me retourne et aperçoit Sidjil, je lui répond favorablement et une question que je voulais absolument évite tomba.

-il c'est passée quoi avec Manas hier soir ?

Je serre les poings et fait un sourire forcé. J'ai un forcené envie de frapper quelqu'un là mais je ne vais ps le faire pour le bien de tous..

-rien, il était juste un peu fatigué alors je l'ai laisser tranquille. Pourquoi cette question ?
-nan pour rien t'inquiète c'était pour être sûr que tout c'était bien passé ! Souris le Toulousain.

Je lui rendis son sourire et m'en alla pour continuer à filmer.

Tout le monde me posait des questions sur se qui c'était passer avec Manas. Se m'énervais au plus haut point. Je voulais tous leur hurler de se taire. De la fermer, j'en pouvais plus de leur questions..

J'allais parler avec Nicolas à la fin de la journée, j'avais besoins de remettre les choses au clair.

Je pris ma salade, me dirige vers une table vide et regarde une série sur mon téléphone.

Pendant l'heure du repas, je n'ai pas toucher à mon assiette. Je n'avais pas faim, je savais que j'allais le regretter mais tant pis.

Si je mange, je viendrais à vomir. De plus sa ne me donnais pas envie.

**

Plus la fin de la journée approchait, plus le Corse se m'y a stressé.

Assis sur ma chaiS, je sentais l'anxiété monter en moi, une tension grandissante qui enserrait mon esprit comme une étreinte implacable. Chaque pensée semblait filer à une vitesse vertigineuse, créant un tumulte chaotique dans mon esprit déjà surchargé.

Les battements précipités de mon cœur résonnaient jusque dans mes tempes, chaque pulsation semblant amplifier l'intensité de mes inquiétudes. Mes doigts, autrefois habiles, devenaient maladroits alors que je tentais en vain de maîtriser le chaos de ma propre nervosité.

Les soucis, tels des ombres insidieuses, dansaient devant mes yeux, obscurcissant la clarté de ma pensée. Mes épaules, habituellement droites, s'affaissaient sous le poids invisible d'une pression inébranlable. Chaque respiration était laborieuse, comme si l'air lui-même était devenu un défi à surmonter.

Des pensées angoissantes, telle une marée montante, menaçaient de submerger mon esprit déjà surchargé. Malgré tout mes efforts pour rester calme, une panique sourde s'insinuait, transformant chaque instant en un exercice d'endurance mentale. Dans cet état d'incertitude, je cherchais désespérément un refuge, un moyen d'apaiser les tourments qui tourbillonnaient en moi.

Soudain, tout devint flou autour de moi, comme si le monde se dissolvait dans un voile insaisissable.
Les bruits au tour de moi était lourd, mes amis étaient devenue des taches.

Je regardais désespérément au tour de moi, cherchant une source d'aide.
Je vis juste une personne s'approcher de moi, lorsque mes jambes lâchèrent, il me rattrapa.

Je ferma les yeux quelque seconde, quand je les réouvrit il y avait cinq personne au dessus de moi. J'avais ma tête posée sur les genoux de Manas, c'était tout ce que je voyais.

Son visage inquiet, je ne voyais personne d'autre. Juste lui, il m'omnibulait. J'avais cette impression que je ne pouvais pas décrocher mon regard du sien, il m'attirait.

-Elian ! Tu vas bien ?
Malheureusement, je tourna la tête et vis Maxime.

-mmhh..
-remercie Manas, il aurait pas été là tu te serais éclaté au sol
Je le regarda et souris, je savais qu'il n'était pas mauvais..

-aller vient lève toi ! Me dit l'autre Corse.

J'enfuie ma tête dans le bas du t'shirt de Nicolas, respirant part la même occasion cette odeur rassurante.

-Elian ?
Aucun mot ne sortit de ma bouche, j'en vais tout simplement pas envie. Je savais que c'était Nico qui m'avait parlé mais je n'avais pas envie de répondre.

-laisse tomber, retournez faire vos entraînements je reste ici avec lui. Rigola légèrement le Français.
(Nationalité de Nicolas inconnue au bataillon)
-je sais que tu ne dors pas, mais regarde moi au moins
Je relève la tête et le regarde dans les yeux. Ils sont si..attrayant.

Il me sourit, pose sa main sur ma tête et caresse doucement mon crâne. Je ne sais pas ce qu'il c'est passer entre hier soir et maintenant mais un sorcier est passer part la !!

||BONJOUR||

Alors ? Il était bien ?

Feedback ?

J'ai rien d'autre à dire............

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