Je ne pense pas t'avoir menti,
Que mon amour était un déni,
Je ne pense pas avoir cessé,
Seulement, je n'ai fait que te casser.Parce qu'il y a un million de chose que je t'ai cacher,
Que je n'ai fait que mentir, que ne jamais vouloir te fâcher,
La vérité ? J'ai toujours eu honte de moi-même,
De ne pas être digne, d'à quel point tu m'aimes.Je t'observe à travers ton absence,
Place que j'ai toujours su immense,
Mais qui parfois me fait réaliser,
À quel point, j'ai pu te briser.Je repense à tous les mots, tous les rires,
Tous les jours où je t'ai fait sourire,
À toutes les fois, où nos corps n'ont fait qu'un,
Mais aussi à quel point c'est dur, d'en connaître la fin.Il a quelque chose en moi, qui ne peut être satisfait,
Qui au fond, qu'importe mes sentiments, ne trouvait la paix.
Je pense que j'ai beaucoup de choses à corriger,
Avant de prétendre, un jour te recroiser.Parce que, si tu savais à quel point j'aimerai,
Que tu sois celle avec qui je finirai,
Seulement, pas un jour ne passe sans que je me rappelle,
Les mensonges et le reste, nous étions sur glace qui craquelle.Tu as été ma première folle et intense passion,
Celle dont j'ai rêvé, et l'objectif de ma mission,
Mais je n'étais pas prêt à rencontrer si fort,
Qu'importe mes débats internes, j'avais tord.Tu as changé ma vie et ça me brûle de te savoir partie,
Que j'en suis l'unique cause, puisque je suis celui qui t'ai sortie,
Que j'ai goûté ta salive, tes larmes, ta sueur,
Et que tous les goûts, à côté, sont sans saveur.J'ai découvert des plaisirs, dont je ne pourrai les nommer,
Des souvenirs incroyables, dont on ne pourra jamais m'ôter,
Des heures à te regarder, des minutes à te détester,
Mais que tous ça, nous l'avons vécu et je ne veux l'effacer.J'aurai aimé, ne pas avoir fait ça sous la pluie,
Avoir pris le temps de discuter toute une nuit,
De prendre le temps, de ce qui nous sépare,
De ne pas avoir, encore une fois, été avare.Je me dois de te dire au revoir,
De ne pas, encore, te laisser croire,
Parce que, je connais le goût de ce poison,
Et que je ne peux prévoir, si nous nous croisons.
VOUS LISEZ
Together
PoetryMême si chaque mot reste faible et chaque rime peut être empruntée, aucun et aucune ne représente réellement qui tu es. Cette œuvre est une succession de poème en ton honneur. Celle-ci a commencé dès que mes yeux t'ont découvert, et devient à prése...