CHAPITRE 23

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Son regard s'assombrit à chaque seconde qui passait.



- Très bien, tu me laisses pas le choix. Avec horreur, je le vois se lever et qu'il s'apprêtait à sortir de la baignoire. Mon cerveau se mit en alerte.



- Non, non, je vais le faire. Criais-je à moitié paniquer. Il se stoppa et me fusille du regard.



- Tu as 3 secondes pour te retrouver dans cette baignoire sinon je te promets que tes fesses ne s'en sortiront pas indemnes. Sa menace me fit froid dans le dos. En état où pas, je savais qu'il ne se retiendrait pas, ni lui, ni ses frères d'ailleurs.



- 1 Commençait-t-il à compter. Avec les larmes aux je descendis le dernier tissu qui me couvrait. A cette vue, les yeux de Zane pétillaient.



- 2...tu ferais mieux de te dépêcher. Gronda-t-il. Mes mains couvraient mon intimité et je me mis à avancer doucement en direction de la baignoire.



- 3. Sans crier gare, il me porta et me mis dans la baignoire. Je fus assis, mon dos collé à son torse musclé. Heureusement que l'eau couvrait notre nudité même si ça ne servait plus à grand-chose. Moi qui voulais attendre mon prince charmant, la personne parfaite pour moi...Jamais, jamais ça n'arrivera.



- Tu vois comme c'est agréable chaton. Souffla-t-il dans mon oreille d'une voix sensuelle. Ses mains caressèrent mon torse, puis vers mes tétons qu'il se mit à caresser du bout des doigts. Je lâchai un cri ce qui lui valut un rire.



- C'est vrai que tu es tellement sensible à cet endroit. Chuchota-t-il en continuant sa torture.



- Z-zane...



- Chhhuuuut. Ses doigts arrêtaient enfin de torturer mes bouts de chair mais malheureusement pour moi, ses mains continuaient à parcourir mon corps, toujours un peu plus bas. Lorsqu'il allait toucher le point non-retour, je me mis sérieusement à paniquer.



- S-s'il te plait non...Je pleurais, ma respiration était rapide, je faisais une crise. Ses mains se stoppèrent mais pas ma crise. J'essayais de m'échapper de sa prise mais il la resserra.



- Calme toi chaton. Je ne pouvais pas. Il me retourna me mettant face à lui. Ses larges mains attrapèrent mon visage.



- Je ne te ferais rien chaton, détends-toi. Essaya de me rassurer d'une voix douce. Je commençais alors à me calmer, lentement.

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