EzraNous étions actuellement dans un restaurant très réputé et très chic, Kaiser l'avait privatisé pour nous.
Le petit déjeuner se faisait dans un froid glacial, je voulais une seule chose ; partir travailler et être loin de lui.
Suite à la claque qu'il s'est prit par moi même, il ne s'est rien passé et ne m'a adressé aucun regard, j'étais enfin avec Michael, et non Kaiser.
Les masques étaient tombés.
En revanche, lorsque nous entendions le serveur arrivé, son attitude changeait du tout au tout.
Je regardai mon téléphone, et lui je ne sais pas ce qu'il faisait et j'en avais totalement rien à foutre, nous avions commandé et nous attendions notre commande.
J'avais juste pris un croissant et un thé, je n'aime pas le café.
Et puis, la main de Kaiser se pose doucement sur la mienne, dans un geste doux.
Je relève la tête de mon téléphone, arquant un sourcil ne comprenant pas la situation, il m'offrait un sourire et caressait donc ma main.
Et puis j'entend les pas du serveur.
Non son changement d'attitude m'effraie, c'est quoi ça ?
Mais bon, je peux aussi le faire.
Je pose mon téléphone, mon coude sur la table, je repose ma tête dans ma main, le regardant fixement, un faux sourire au visage.
Qu'est ce qu'on est faux.
Le serveur vint nous déposer notre commande, et puis nous commençons donc à manger, mais le serveur restait à nos côtés, restant en retrait.
— Tu dois être pour quelle heure à l'Arena ?
L'Allianz Arena, le nom du stade du Bastard.
(Bon en vrai c'est le nom de celui du Bayern mais tqt)
— D'ici une heure, j'ai une tonne de travail à faire.
Il me sourit.
C'est gênant et puis, c'est vraiment ce genre de discussion qu'entreprend un couple ?
Je dois quand même être un minimum investie, même si je n'en ai aucune envie.
Les changements d'attitude de Kaiser me trouble et il le sait très bien, il prend même son pied à faire ça.
— Ah je voulais te demander si ça allait mieux depuis hier, quand tu t'es pris le ballon dans la joue tu sais.
Il a faillit s'étouffer avec son jus d'orange et j'ai faillis exploser de rire.
J'ai laissé échapper un petit rire très discret, je suis vraiment une gamine.
Mais tant pis pour sa gueule, fallait pas me chercher.
Il plante ses iris bleus dans les miennes et affiche un sourire qui ne me dit rien qui vaille, avant de déclarer :
— C'est toi qui m'a soigné Liebling, je ne peux qu'aller bien. D'ailleurs faudrait que tu me dises comment tu fais pour être aussi doué, infirmière c'est même pas ton métier.
Je le regarde d'un regard noir, si mes yeux étaient des lames, il serai mort.
Il veut vraiment jouer à ça ?
Non mais parce que, moi le soigner ? LOL Et puis quoi encore.
Er comme si ça n'était pas assez, il rajoute :

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𝐋𝐈𝐄𝐁𝐋𝐈𝐍𝐆
Fanfiction" 𝙩𝙪 𝙙𝙚𝙫𝙧𝙖𝙞𝙨 𝙢𝙚 𝙧𝙚𝙢𝙚𝙧𝙘𝙞𝙚𝙧 𝙙𝙚 𝙩𝙚 𝙛𝙖𝙞𝙧𝙚 𝙙𝙪 𝙢𝙖𝙡, 𝙟𝙚 𝙩'𝙚𝙣𝙙𝙪𝙧𝙘𝙞 " On faisait semblant à la base ; sortir ensemble. Fait-on toujours semblant ? Kaiser xOc/reader