— Madame Lehmann !Je relève la tête de mon ordinateur, putain elle m'a fait peur !
Elle m'a arraché de ma concentration.
Mia était en face de moi, son sac à son bras.
— Désolé d'avoir criée, mais cela fait 3 fois que je vous appelle, vous ne me répondez pas.
— Je travaille sur quelque chose d'important, tu devrai le savoir.
— Il est 18h30. Cela fait 30 minutes que vous étiez sensé avoir fini. Vous devriez arrêter de vous surmener ou vous risquerez de faire un
black-out.Je lève les yeux au ciel avant de reprendre toute mon attention sur mon travail.
Non mais si je veux travailler je travaille, elle commence à me gonfler.
— Madame Lehmann. Monsieur Kaiser vous attend depuis 30 minutes.
Putain j'avais oublié qu'il m'attendait pour me déposer !
C'est la merde.
C'est la dernière personne que j'ai envie de voir.
Je souffle bruyamment et éteins mon ordinateur, je range les dossiers à leur place et rassemble mes affaires dans mon sac.
Je me lève de ma chaise, et manque de me ramasser par terre.
Bordel, il m'arrive quoi ?
Mia se rue vers moi, mes jambes et tout mon corps tremblent, non mais sérieux j'ai quoi ?
— Vous avez mangé ? Elle me demande.
Merde.
— J'ai oubliée.
Elle fronce des sourcils, visiblement mécontente.
Mais je m'en fou.
Je veux voir Grisou moi.
Elle m'aide à me lever, et à marcher par la même occasion.
— Arrêtez de négliger vos repas, votre santé est primordial. Vous travaillez trop.
Je ne lui répond pas, elle ferme mon bureau et me tend les clés, je les prend et les fourres dans mon sac.
Elle m'aidait toujours à marcher étant donné que j'étais dépourvue de toute force, c'est vrai qu'il faudrait que je mange un peu plus.
Mais bon, le travail passe avant.
On fini par arriver devant la voiture de Kaiser, il était concentré sur son téléphone, puis il tourne le regard vers nous.
Il fronce des sourcils et sort de sa voiture avant de s'avancer vers nous.
— Qu'est ce qu'elle a ?
— Bonsoir à vous aussi Monsieur Kaiser, il se trouve que madame Lehmann n'a rien mangé de la journée, elle a encore oubliée de le faire, comme tout les j-.
— Mia ! C'est bon tais toi ! Je la réprimande.
J'ai pas envie qu'elle étale ma vie à Kaiser, ça ne le regarde pas.
J'ai horreur de ça.
— Allez-y. Je m'occupe d'elle. Intervient Kaiser.
Mia se décolle de moi, et à peine s'est elle éloignée que je manque de me casser la gueule.
Mais Kaiser me rattrape, passant son bras sous mes genoux, et l'autre au niveau de mes omoplates, me portant comme une princesse.
Son parfum vint s'imprégner dans mes narines, il sent le Dior sauvage.

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𝐋𝐈𝐄𝐁𝐋𝐈𝐍𝐆
Fanfic" 𝙩𝙪 𝙙𝙚𝙫𝙧𝙖𝙞𝙨 𝙢𝙚 𝙧𝙚𝙢𝙚𝙧𝙘𝙞𝙚𝙧 𝙙𝙚 𝙩𝙚 𝙛𝙖𝙞𝙧𝙚 𝙙𝙪 𝙢𝙖𝙡, 𝙟𝙚 𝙩'𝙚𝙣𝙙𝙪𝙧𝙘𝙞 " On faisait semblant à la base ; sortir ensemble. Fait-on toujours semblant ? Kaiser xOc/reader