" 𝙩𝙪 𝙙𝙚𝙫𝙧𝙖𝙞𝙨 𝙢𝙚 𝙧𝙚𝙢𝙚𝙧𝙘𝙞𝙚𝙧 𝙙𝙚 𝙩𝙚 𝙛𝙖𝙞𝙧𝙚 𝙙𝙪 𝙢𝙖𝙡, 𝙟𝙚 𝙩'𝙚𝙣𝙙𝙪𝙧𝙘𝙞 "
On faisait semblant à la base ; sortir ensemble.
Fait-on toujours semblant ?
Kaiser xOc/reader
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Kaiser était dans mon salon, il m'avait prévenu qu'il viendrait avant que nous partions pour la soirée, je ne suis pas allez le voir depuis qu'il est arrivé -20 minutes-, j'étais en train de finir de me préparer.
Ma robe m'allait parfaitement bien, elle est de couleurs noire et est asymétrique, elle présente une fente qui longe ma jambe, jusque le milieu de ma cuisse, en véritable soie. C'est une robe de créateur faite sur mesure rien que pour cet événement.
Avec la robe, je portais aussi de longs gants noirs en velours, puis, je portais une paire de talon, des Rene Caovilla noire, la spirale et les paillettes de la chaussures faisaient tout leur charme.
J'ai laissé mes cheveux détaché, faisant de belles boucles anglaises, et m'étais légèrement maquillée toute seule.
Je n'aime pas particulièrement me faire maquiller, je trouve que c'est une tache qui me revient parce que c'est mon visage et je fais ce que je veux dessus.
Alors que les maquilleuses, même si on leur montre ce qu'on veut, elle se laisse aller.
Bref.
Je me parfume avec mon éternel parfum, le J'adore de chez Dior.
Ça fait des années que je le porte, et c'est clairement ma signature ce parfum.
Je sors enfin de mon dressing, avec ma pochette Dior Bobby, je l'aime particulièrement, elle est noire, classe et le logo n'est pas extravagant.
Je rejoins mon salon, et tombe sur Kaiser, assis sur un fauteuil chaise, il traînait sur son téléphone, Grisou était sur sa cuisse, il le caressait en même temps.
Il portait une chemise blanche, le dernier bouton n'était pas fermé, et avec une veste de costume noir - pas fermé - et un pantalon de la même couleur, comme je lui avais demandé.
/ nda : média pour les tenues des deux bogoss /
Il avait sa coiffure habituel, et sentait le Dior Sauvage à des kilomètres, tellement l'odeur est forte on dirait qu'il s'écoule ce parfum dans ses veines.
Il relève les yeux sur moi, et s'attarde sur mon visage.
Il me regardait toujours sans émotion, et je le jugeais aussi du regard.
Puis il fini par souffler bruyamment avant de se lever et de secouer sa cuisse en tapant dessus.
— Ton gros chat perd ses poils, espèce de mauvaise maîtresse. Lance-t-il.