Les Russo 2

12 : Oliver

Le crépuscule commence à se montrer, j'ai beaucoup dormis du coup maintenant je suis en pleine forme et j'ai les crocs. Je m'étire légèrement et regarde l'heure. Finalement j'ai moins dormis que ce que j'imaginais, seulement deux heures quarante cinq.

-On s'arrête manger?

-Dans une heure ou deux, on doit rattraper notre retard.

-T'as fais une pose? Ça fais quand même trois heures que tu conduis.

-Non mais ta mère a appelée. Elle voulais savoir où on en été.

-D'ailleurs pourquoi tu n'as pas prit l'avion? Tu sais le truc rapide qui vole dans le ciel et que les gens normaux utilise pour faire de longues distances.

-Parce que j'avais des chose à faire à l'allé.

-Tu avait quoi à faire?

-Des choses qui ne te regarde pas conglione.

-Tu sais que tu n'as pas répondu à ma question de tout à l'heure, je dis légèrement timide.

-La quelle?

-Tu as aimé pour une première consentie?

Il souri en coin et pose sa main sur ma cuisse.

-C'est beaucoup plus plaisant que ce que j'imaginais.

-Qu'est ce qui t'as donner envie d'essayer avec moi?

-Je pensais avoir été claire avec le fait que tu me plaît.

-Je ne suis pas le premier qui te plaît rassure moi?

-Non y'en a eus d'autre. Je ne sais pas comment l'expliqué, avec les autres je n'avais pas envie d'aller plus loins.

-En attendant je dois bien admettre que t'as un vrais talent pour sucer, j'ai du mal à croire que c'était ta première fois.

Il pince ses lèvres et caresse ma cuisse avec son pouce.

-C'est pour ça que je t'ai précisé que c'était la première fois consenti. Quand mon père a décidé de me soigné en m'envoyant en camps...on a tout fait pour nous dégoûter de ce types de rapport, quitte à ce que les rapports soient forcé.

Je baisse les yeux, heureusement que j'ai échappé au thérapie de conversion. Je pose ma main sur la sienne et la presse légèrement pour lui montrer mon empathie. Il ricane et roule des yeux.

-T'inquiètes pas j'ai passé le cap, c'est aussi pour ça que j'arrive à en parler.

-Je n'aurai pas dû tenir ta tête.

-Si, ça fait parti du jeu, en plus je serai mal placé pour te le reprocher. Et pour répondre sincèrement à ta question de tout à l'heure, oui ça m'a plus.

-Je t'ai donné envie de recommencer, je demande curieux et taquin.

-A ton avis, murmure t'il en griffant légèrement ma peau a travers le jeans.

Je gémis doucement en me tendant légèrement. J'adore quand on me fait ça.

-Tu es tellement facile à chauffer, rit-il.

-Oh ça va hein, je suis un ado avec les hormones en feux c'est normale.

-S'il te plaît évite de me rappeler que t'es un ado.

-C'est vrais que t'es majeur toi, détournement de mineur. T'inquiètes pas je n'irai pas porter plainte vue que c'est moi qui t'ai enculé.

-Ça va alors.

Il s'arrête à une station service pour remettre de l'essence pendant que je nous achète de quoi manger et boire. On s'assoie sur banc et mangeons tranquillement. Il achète des cigarettes, jetés nos déchet à la poubelle, le lave les main et le visage avec une lingette et nous voilà reparti.

La lune éclaire le paysage, je commence à trouver le temps long. J'ai besoins de bouger un peu et en plus j'ai envie d'aller au toilette.

-Hardin tu peux t'arrêter à la prochaine aire?

-Pourquoi?

-Je dois pisser.

-Tu peux pas te retenir un peu?

-Non, vraiment pas. En plus ça fais plus de deux heures d'affilée que tu conduis tu dois être fatiguer.

-Non ça va niveau fatigue.

Il s'arrête sur le côté quand il trouve un endroit approprié. Je me libère dans un buisson puis marche un peu. Hardin en profite pour se vider également et se dégourdir. On s'allume une cigarette et profitons qu'il y ai une poubelle pour vider le cendrier.

-Ça fait du bien d'être debout je m'exclame en m'étirant pour la quatrième fois.

Il écrase sa clope, me bloque contre le voiture et m'embrasse. Je savoure ses lèvres, pose une main sur sa nuque et laisse ma langue se frayer un chemin jusqu'à la sienne. Il passe une main dans mes cheveux l'autre sous mon teeshirt. Je gémis des qu'il titille mes tétons et que sa jambes glisse entre les miennes pour faire une légère pression sur mon intimité. Je mordille sa lèvres inférieure en griffant doucement sa nuque, il grogne contre mes lèvres en pinçant d'avantage mes tétons.

-J'ai envie de toi, je confesse contre sa peau.

-On est trop à la vue de tous ici, tu vas devoir patienter.

Il mordille ma lèvres avant de nous séparer. Je souffle de mécontentement mais comprend son point de vue. Je monte et ne tarde pas à m'amuser à le caresser. Tantôt la mains sur sa queue tantôt sur sa cuisse je fais des vas et viens du bout des doigt pendant qu'il roule.

-Tu me déconcentre, dit-il souriant.

-Pourtant je ne fais rien, je répond innocemment.

J'arrive à dégrafer son pantalon et caresse son gland à travers le tissus, il mord l'intérieure de sa joue sans perdre son sourire ravageur.

-Arrête on va finir par avoir un accident, ricane t'il en posant sa main sur la mienne.

-J'ai trop envie pour attendre.

Il prend ma main dans la sienne et me la repose sur la cuisse.

-Descend légèrement ton jeans et ton boxer.

J'arque un sourcil puis obéis. Il commence à me caresser sans lâcher la route des yeux. Je frémis et gémis.

-Comment t'arrive à branler et conduire, je murmure .

-J'ai déjà doigter une fille en conduisant, te branler ne devrai pas être un exploit.

Il intensifie sa poigne et ses mouvement de bas en haut. Je fini par agripper son bras d'une main et mordre l'autre pour contenir un minima mes bruits. Il arrête de me branler et m'enlève la main de la bouche avant de reprendre ses mouvements.

-Je veux t'entendre dire mon prénom.

J'ignore si c'est une demande ou un ordre mais sa voix suave me fait rougir. Néanmoins je ne veux pas lui céder aussi facilement, je gémis sans dire ce qu'il veux entendre. Il accélère de plus en plus.

-Hardin.

Satisfait que je finisse en gémissant à plein poumon son prénom il souri et me demande de lui ressuyer la main.

-J'ai pas de mouchoir, ils sont dans le coffre.

-Alors nettoie avec ta langue.

Je me prête jeu, il semble surpris que je le fasse et en même temps très exciter.