23 : Oliver

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Il lâche mes poignets pour me prendre en bouche. J'agrippe les coussins pour ne pas enfreindre sa règle mais au plus il accélère au plus c'est compliqué. Il s'arrête avant que j'ai le temps de jouir.

-Hardin si te plaît.

-Non je veux d'abord m'amuser.

Il enlève son pantalon et s'assoie sur moi. Sentir son cul s'ouvrir centimètre par centimètre me fais un bien fou. Je mordille ma main pour éviter de le toucher. Il va lentement, trop lentement. Je pose mes mains sur ses hanches pour imposer le rythme qui me ferra jouir, il se contracte et prend mes mains dans les siennes, il se penche sur moi, ses lèvres à quelque millimètre des miennes.

-Dommage.

-Si te plaît...

Il se sert de moi comme appuyer et s'enlève à moi. Je m'assoie et attrape son bassin, il arque un sourcil joueur puis passe la main dans mes cheveux.

-T'as faim à ce point?

-Oui.

Ma réponse me surprend autant que lui. Je passe le bout de ma langue le long de sa queue puis titille son gland. Il appuie sur ma tête pour s'enfoncer au maximum. Je laisse volontairement mes dents l'effleurer pour le faire sursauter. Il griffe ma nuque et saisie ma gorge, je plonge mes yeux dans les siens complètement prisonnier de lui. Il fait lui les va et viens sans me lâcher des yeux , au début doucement puis fini par me baiser la bouche. L'asphyxie m'excite de plein plus, je ne peux pas me retenir de me branler en même temps. Il arrête avant de terminer et récupère sa ceinture, il s'assoie face à moi, avant même qu'il ai le temps de parler je colle mes poignet l'un à l'autre. Il souri et me les attache, il m'assoie sur lui et passe sa tête entre mes bras. Nos langue entame une valse effréné pendant qu'il entre en moi. Notre baisé étouffe mes bruit de plaisir. Il me martel brutalement, si je le pouvais je grifferai sa peau à sang tant le plaisir est intense. Les rares moment où nos lèvres se séparent je gémis son prénom.

-Dis le encore, intime t'il à bout de souffle.

-Hardin...

Je fini par le crier en atteignant l'orgasme. Il continue de me défoncer pour ce terminer. Je mord sa peau par réflexe pour ne pas hurler. L'entendre jurer mon prénom quand il atteint l'orgasme à son tour me donne envie de recommencer immédiatement.

-Encore.

-Laisse moi reprendre mon souffle.

-Non.

J'entreprends les vas et viens mais au quand même un peu de mal vue la position. Il n'a pas entièrement repris son souffle mais accepte mon caprice. Il recommence, j'en demande toujours plus.

-Cazzo Oliver...

-Plus fort.

Mes demandes incessantes obtienne gain de cause. J'entre dans une transe de plaisir intense. Je ne retiens aucun bruit, aucune pensées.

-Tu me rends fou Hardin...

Ma dernière phrase suffit à ce qu'il entre en transe aussi. Il m'étrangle tout en me détruisant le cul jusqu'à atteindre un nouvel orgasme. On exclame notre plaisir en même temps, je m'écroule sur lui, lui le laisse tomber sur dossier du canapé.

-Toi aussi tu rends fou, dit t'il à bout de souffle.

Le corps haletant, le souffle court, on a besoins de quelque minutes pour récupérer. Il fini par se retirer, je gémis puis m'aide du canapé pour me lever.

-Ou tu vas?

-Vue ce que tu viens de me faire tu poses vraiment la question?

-T'es pas sensé avoir des béquilles?

-Si mais elle son rester là-bas vue que tu m'a porté pour venir ici.

Il se lève et m'attrape les béquilles, je le remercie et par au toilette. Il toque à la porte et l'ouvre pour me donner mon pantalon et mon boxer.

-Tu sais que ça pouvais attendre.

-Sait-on jamais si ta mère rentre que tu ne sois pas à poile.

-Merci.

-Ça va, demande t'il sans me regarder.

-Hardin ne le prend pas mal mais j'aime bien être seul au toilette.

-Tu saignes surtout.

-Pardon?

-Quand je me suis essuyé il y avait du sang.

-T'inquiètes pas c'est normal vue comme tu m'a défoncé, je ricane. Va te laver.

Il me laisse finir mon affaire. Ça ne m'inquiètes pas spécialement de saigner vue ce qu'il s'est passer, par contre je vais éviter de m'assoie quelque heures. Je monte à la salle de bain et rejoint Hardin sous la douche. Il est surpris de me voir mais fait preuve de beaucoup de tendresse. Il me savonne délicatement et porte une attention particulière à mon intimité. Je mordille ma lèvre et colle mon cul à sa bite. Il embrasse mon cou, mon épaule, ma nuque puis me serre contre lui. Je ferme les yeux pour savourer pleinement se moment intime. Il coupe l'eau et sort le premier de la douche il se met une serviette autour de la taille et en sort une immense pour moi. Il m'enveloppe dedans et me sèche en faisant très attention à aux agrafes qui referme ma plaies.

-Tu dois les enlever quand?

-Dans cinq jours normalement.

-Ça va? Ça ne te fais pas trop mal?

-Non je pense que la phase la plus douloureuse s'est faite quand j'étais dans le coma.

-Certainement vue qu'ils t'ont plongé dedans pour t'éviter de souffrir.

-Hardin, tu vas vraiment tuer ma mère?

-La vengeance revient toujours à l'enfant de la victime ou le ou la partenaire. Vue les circonstances...

-Et tu en as envie?

-Au début oui, j'avais envie de la butter et une part de moi le veut toujours. Je suis pris entre mon honneur et toi si tu veux vraiment tout savoir.

Je baisse les yeux en resserrant la serviette autour de moi. Je mordille mon ongle nerveusement, je ne veux pas croire qu'il le ferra...

-On pourrait avoir une belle histoire si tu faisais le bon choix, je soupir.

-Et c'est quoi selon toi le bon choix?

-Que tu arrêtes tes magouilles et que tu abandonnes ta famille.

Il ricane et affiche son plus beau sourire.

-Jamais je ne ferrai ça, j'aime ma vie même ça veux dire cacher le fait que je sois attirer par les hommes. Je ne sacrifierai pas cette vie pour une histoire de cul.

Les Russo 2 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant