Chapitre 14 : Le Réveil

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Pov Coline :

Les bruits de la vie quotidienne dans le service de soins intensifs de l'hôpital semblaient s'atténuer autour de moi, alors que je restais assis au chevet de Coline. Ses traits étaient paisibles, son souffle régulier, mais chaque seconde qui s'écoulait semblait étirer l'attente dans une éternité interminable.

Les médecins avaient dit que son état était stable, mais son réveil restait incertain. J'observais chaque frémissement de ses paupières, chaque mouvement de sa main, cherchant désespérément un signe de retour à la conscience.

Et puis, un jour, cela arriva. Ce fut comme si le temps lui-même avait suspendu son souffle, attendant avec moi le moment tant attendu. Les doigts de Coline commencèrent à bouger légèrement, ses paupières papillonnèrent, et enfin, ses yeux s'ouvrirent lentement.

Mon cœur bondit dans ma poitrine alors que je me penchais au-dessus d'elle, retenant mon souffle, priant pour que ce soit vraiment elle, pour que ce ne soit pas un rêve fugace. Ses yeux rencontrèrent les miens, encore embués de sommeil, mais clairs et conscients.

« Coline... » Ma voix tremblait d'émotion alors que je prenais sa main dans la mienne, sentant son étreinte faible mais réelle. « Tu es réveillée. »

Elle me regarda, un mélange de confusion et de reconnaissance dans son regard. « Joyca... » murmura-t-elle faiblement, sa voix à peine audible mais remplie de tendresse.

Des larmes de soulagement embuèrent mes yeux alors que je me penchais pour l'embrasser doucement sur le front. « Tu m'as tellement manqué, Coline. »

Elle tenta de sourire, mais la fatigue et la douleur étaient toujours présentes sur son visage. « Où suis-je ? » demanda-t-elle, sa voix tremblante mais déterminée.

Je lui expliquai doucement ce qui s'était passé, comment elle avait été impliquée dans un accident de voiture, comment elle avait été plongée dans un coma pendant des semaines. Elle écouta en silence, absorbant chaque mot avec une concentration intense.

Et puis, elle me posa la question que je redoutais le plus.

Coline : Ma mère... Où est-elle ?

Mon cœur se serra à ses mots, me rappelant la terrible nouvelle que j'avais dû lui annoncer.

Moi : Coline... Ta mère est décédée. Elle est partie...

Elle ferma les yeux un instant, la douleur et la tristesse se lisant sur son visage. Je la serrai dans mes bras, lui offrant un réconfort silencieux dans cette épreuve déchirante.

Moi : Je suis désolé, Coline... Je suis là pour toi, je vais t'aider à traverser ça.

Elle enfouit son visage dans mon épaule, cherchant refuge dans mon étreinte.

Coline : Et mon père *murmura-t-elle d'une voix tremblante.*

Mon cœur se serra à cette question, sachant ce qui l'attendait à son retour à la maison.

Moi : Ton père... Il a été arrêté. Il... Il t'a fait du mal, Coline.

La terreur lui prit à la gorge, étouffant chaque pensée, chaque émotion. Mon père... Celui qu'elle avais toujours détester, celui qui l'avais maltraité avais enfin payé.

Et tandis que nous nous tenions là, perdus dans notre chagrin et notre douleur, une lueur d'espoir émergea dans nos cœurs meurtris, nous rappelant que même dans les moments les plus sombres, il y avait toujours une lumière qui brillait quelque part, prête à nous guider vers un avenir meilleur.


















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572 mots

Hey!
Voila la suite je suis désolée si sa ressemble beaucoup à un autre chapitre mais il fallait que sa concorde avec. Le chapitre suivant

Donc voilà dite moi ce que vous avez penser de de ce chapitre !😘

toi et moi : une harmonie parfaiteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant