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Moi : papa, maman, j'ai enfin trouvé du travail. Dis je enthousiaste.

Maman : Al hamdoulilah ma fille je suis très contente pour toi. Je rends grâce à Dieu, tu es une gentille fille, tu auras que des bonnes choses in shaa Allah (ma gui sant Yallah bou bakh, khale bou bakh ga, lou bakh rek ngay am, in shaa allah)

Papa : Allahouma barik ma fille, je suis fier de toi.

Moi : merci beaucoup, maintenant vous n'êtes plus obligé de vous fatiguer pour moi. C'est maintenant à moi de m'occuper de vous.

Papa : tu n'es pas obligé ma fille...

Moi : je sais papa, mais je ne veux plus vous voir vous fatiguez, je veux que vous reposiez et que vous profitez de l'un et de l'autre.

Maman : tu es vraiment adorable ma chérie mais n'oublie pas que tu ne seras pas éternellement avec nous qui prendra soin de nous si tu pars chez ton mari.

Moi : ce n'est pas un problème car je continuerai à travailler pour prendre soin de vous.

Papa : et si ton mari refuse que tu travailles.

Moi : il devra l'accepter si il m'aime vraiment.

Maman : hm, d'accord ma chérie, donc mon amour prenons une retraite anticipé.

Moi : koula bayi yaye ngay wowe sama pape mon amour ( comment peux-tu appeler mon père mon amour maman ? Dis je d'un ton moqueur.

Maman : meytouma Djamila Gailo. (fais attention à moi Djamila)

Papa : laisse-la ma reine, elle n'a pas encore trouvé son prince charmant.

Je rigole avant de m'éclipser.
En parlant de prince charmant, mon père a complètement tord, j'ai quelqu'un dans ma vie, il s'appelle Bachir, je l'aime, il est gentil, serviable, un peu comme moi. Il était mon meilleur ami avant qu'il ne me déclare sa flamme. C'est un homme mignon de teint clair avec des yeux marrons clair. Il n'est pas trop grand ni trop petit.

Moi : allô Bachir, comment vas tu?

Bachir : quant est-ce que tu vas me donner des mots doux, tu es toujours là à dire allô Bachir, comment vas-tu? Dit il en m'imitant.

Je ris. Je n'aime pas trop donner des surnoms aux hommes, je ne sais pas pourquoi ?

Moi : Bachir est le nom que tes parents t'ont donné, alors comment veux tu que je t'appelle ?

Bachir : tu sais quoi, appel moi comme tu veux.

Moi : voilà. Dis je en riant.

Bachir : sof ba dee (tu es fatiguante)

Moi : khana namo ma wone (je ne t'avais pas manqué).

Bachir : bien sûr que si, j'ai passé toute la nuit à penser à toi.

Moi : oui, c'est ça.

Bachir : je t'assure, j'ai juste envie de venir te voir.

Moi : non, ne viens pas mes parents vont se remettre à me poser des questions.

Bachir : pourquoi ne veux-tu pas officialiser les choses ? Je t'aime et je veux t'avoir à mes côtés.

Moi : ce n'est pas encore le moment Bachir entendons un peu, je ne suis pas prête pour me marier.

Bachir : quand le seras-tu ? Moi je suis prêt depuis très longtemps, j'attends juste ton accord pour débarquer chez toi avec mes parents.

Moi : ihh defal nank (fais doucement). Je suis la seule fille de mes parents, ils n'ont que moi , je veux les aider et profiter d'eux avant de partir, tu comprends.

Un cœur, un choix, deux viesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant