J'aimerais te dire, j'aimerais t'écrire, tout ce que je ressens, pourquoi je vous mens.
Tu es, je crois, mon ami, et tu es vraiment gentil, jamais tu ne m'as fait de mal, tu me donnais la force d'avancer.
Mais voilà, depuis deux semaines tout a changé, et moi petit à petit j'ai perdu le peu de confiance qui me restait.
Tu ne m'as pas fait de mal, tu ne m'as pas embêtée, tu aimes juste une autre que moi, et il faut que je me fasse à ça.
J'ai cru certaines fois que mes sentiments trouvaient un écho, mais parce est de constater que je croyais à un mensonge un peu gros.
Je pourrais te trouver toutes les excuses du monde, te protéger de mon corps, je pourrais te défendre si tu le demandes, mais je ne le ferais pas.
Hier tu avais l'air tellement triste et épuisé, je ne t'ai pas parlé, je me suis contentée de t'observer, silencieuse et triste de te voir comme ça.
Je me suis tu, en espérant te voir joyeux, mais tu devais juste être fatigué.
Je l'avoue, en voyant ton air tristounet, j'ai espéré qu'elle t'ai quitté, mais je suis égoïste, et j'ai vite repris mes esprits.
Alors mon cher G, qu'est ce qui t'ai arrivé ? J'aimerais te consoler, mais les relations je ne sais pas bien les gérer.
Je te laisse sur ces mots, au revoir et à bientôt.
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Cœur à vif
Non-FictionJuste moi, sans vers, sans rimes, sans masques /!\ Phobies, « dépression », mort, douleur, tristesse /!\