Ma Maïa, c'est pas juste que le malheur tombe sur toi.
Je voudrais prendre toute la tristesse que tu garde pour toi, je voudrais te soulager de ce si lourd poids.
Tu n'as pas mérité d'être malheureuse, c'est tellement injuste parce que tu es si merveilleuse...
Donne ce qui te fait du mal, je le mettrai tout au fond d'une immense malle.
Je veux te protéger, dans mes bras très fort te serrer.
Pardon mon amie, de je pouvoir enlever tous ces ennuis de ta vie.
J'aimerais t'aider, mais que faire à deux cents kilomètres de toi à part te parler ?
Je suis là si tu as besoin de moi, promis je ne te lâcherai pas.
Je t'aime mon amie, ensemble on combattra tes soucis.
Ça va aller, je vais essayer de t'aider.
Je suis là, je suis là Maïa.
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Cœur à vif
Non-FictionJuste moi, sans vers, sans rimes, sans masques /!\ Phobies, « dépression », mort, douleur, tristesse /!\