Chapitre 6

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« Nos silences sont le reflet intense de notre vie  passé»

Je me regardais dans la coiffeuse en train d'enlever la petite couche de maquillage que j'avais mis pour aller à l'opéra. Je savais qu'il sait qu'il fallait j'aille me coucher, mais c'est toujours le moment que je redoute. C'est toujours à ce moment où l'on se retrouve seul avec soi-même où nos pensées arrivent, et nous empêche de dormir. Je me dépêche d'enfiler mon pyjama pour rejoindre mon lit.

Je me glisse furtivement dans mes bras, puis tendit le bras pour éteindre la lampe qui se trouver sur la table de chevet à côté du lit. C'est à partir de ce moment que le calvaire commencé, malgré la fatigue pesante les pensées renées le dessus. je voyais à nouveau chaque scène de l'accident qui hante à présent ma vie.

À l'instant, même où je fermais mes yeux, je revois. Ces moments gravés à vie dans ma mémoire. Une
larme coula sur ma joue et dessina
ça trace pour arriver à la naissance de mon coup.

la seule solution que j'avais trouvée jusqu'alors était de rêver. Alors quand il ne reste plus que le rêve, c'est pourri, sa playlist poire ou la folie selon les points de vue, alors que je rêve je fantasme et si j'étais folle.

c'était une phrase que je me répétais souvent comme un repère au milieu de l'océan. C'est simplement m'aider à avancer. Je me redressais soudainement dans mon lit, les larmes aux yeux. On pense  souvent que lorsqu'on vit un mauvais moment on le vit une fois dans sa vie, mais c'est faux chaque fois que je ferme les yeux, je le revoir il est là.

Il m'empêche de dormir, de manger de vivre, normalement il me suit de partout. Il m'a créé des traumatises, des réflexes, des tics  qui me torturent au quotidien.

Je me glissais hors de mon lit, le parquait  froid, me fit frissonner, je sortis de ma chambre pour rejoindre celle de mon frère. Sous mes pieds de léger grincement, pouvait se faire entendre dans le silence de mort qui surplombe la maison.

je poussais légèrement la porte de sa chambre qui a été plongé dans l'obscurité, ce qui n'empêcher pas d'apercevoir les meubles et le lit au milieu de la pièce.

Je me faufilais lentement dans la chambre, puis soulever légèrement la couette pour me glisser à côté de lui.

-Anna c'est toi?  marmonna mon frère.
-Oui
-tu fais encore des cauchemars?
-Oui
Il se tourna de mon côté pour moi encerclé dans ses bras. Voilà où je me sentais réellement en sécurité. Sa chaleur corporelle imprégnât doucement dans ma peau et une vague de sérénité m'envahit!
-T'inquiète pas, je suis là maintenant.

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Sa fait longtemps 🥲

               !!!!!Le chapitre n'est pas corrigé!!!!!

Petit chapitre pour reprendre gros bisous 🦔🦔🦔

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