Chapitre 4 Première session

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Pdv de maitresse rosalie

La nuit tombait lentement dehors, je finissais d'enfile ma tenue que j'avais choisie, d'après les conseils de ma mentore, pour notre première session je regardais le réveille sur ma table de nuit, il lui restait encore vingt minutes avant notre rendez-vous, je poussais un petit soupir n'espérant pas déjà devoir la punir pour un retard.

Je sortis de mon armoire le petit coffre en bois refermant notre lien.

Dix minutes avant notre rencontre, j'entendis la porte de sa chambre s'ouvrir et ses pas dans le couloir, je souris en entendant ça. « Ouf je ne vais pas devoir déjà la punir », pensais-je.

Après quelque minute je pris mon chargement puis me dirigeai vers le donjon.

Lorsque j'entrai dans la pièce, je remarquais que sa position n'était pas juste, car sa tête était droite et ses bras étaient sur ses cuisses certes, mais ses paumes contre le sol, mais grâce à ça je pus voir à ses yeux et ses mains qu'elle semblait un peu stressée. « C'est normal après tout c'est sa première vraie session », me dis-je tout en allant vers elle.

Une fois près d'elle, je regardais s'il y avait d'autres fautes, forte heureusement elle n'en avait pas fait. J'allais ensuite dépose mon chargement sur la commode puis ouvrit lentement le coffre pour sortir son contenue.

Tout en fermant son collier, je la préviens que j'allais de voir la punir à cause de sa mauvaise position, malgré le fait qu'elle l'avait pris la bonne pour la mise de collier.

Elle s'excusa d'une voix tremblante, « je dois la punir, mais pas de manière trop sévère », pensais-je à ce moment-là.

Après lui avoir donné l'ordre de retire sa tenue, de prend la position correctement et de ne pas bouger avant mon retour, j'allais chercher un rouleau de cordes, un foulard et une laisse dans une commode, je retournais ensuite vers elle puis commença par lui attacher les poignets, les bras et le buste, je nouais ensuite un foulard sur ses yeux pour l'oblige à se concentre sur ses sensations.

Je la regardais ensuite quelques secondes puis accrochais le lien en cuir à la boucle de son collier puis l'obligeais à se pencher en avant grâce à ce dernier.

Je caressais son dos pour voir ses réactions et lui permettre de rentre dans son rôle, je commençais ensuite lentement à la griffer.

Après dix minutes, son dos était recouvert de petites lignes rouges, je récupère la laisse et la fit se lever.

Je l'attachais ensuite à un des crochets du plafond puis allais chercher contre le mur ma cravache la moins dure. Je lui caressais lentement le dos avec cette dernière surveillant le moindre signe de panique.

Je donnais ensuite un premier coup sur ses fesses, elle sursauta, mais ne dit pas le mot d'arrêt et commença à compter.

- Un ! Dit-elle d'une voix peu assurée

- Deux ! Continua d'elle sur le même ton de voix

- Trois !

Entre chaque coup je la laisse reprendre son souffle.

- Quatre ! Dit-elle d'une voix un peu plus confiante

Au bout de vingt coups, je m'arrêtais heureuse qu'elle ait réussi à compte tous les coups.

- Je vous remercie maitresse pour cette punition, elle m'aide à être une meilleure soumise. Dit-elle d'une voix calme et assurée.

Je m'approchais alors d'elle, lui relevait la tête de ma cravache puis lui retirait le foulard des yeux, ces dernières étaient brillantes de bonheur.

- C'est très bien Libra, je suis très fière de toi. Dis-je tout en la libérant du plafond et de ses liens.

Je la laissais ensuite lentement revenir à la réalité.

Lorsque je vis que ses jambes ne la tenaient plu je la rattrapais puis la tenue contre moi par terre en la félicitent à nouveau en la serrant lentement, à peine avais-je dit ces mots que je l'entendis pleure dans mes bras. Je souris tout ferma délicatement les yeux laissant moi aussi couler quelques larmes.

Une fois l'après-session finie, je lui proposais en me levant d'aller prendre une bonne douche avant d'aller dormir. La jeune fille accepta en remettant sa robe.

Nous nous dirigeâmes donc vers la salle de bain, j'enlevais lentement ma robe que je mis dans le panier à linge sale et fis de même avec elle. Je la poussais gentiment sous l'eau et fis couler cette dernière.

Une fois sortie, je m'enroulais dans une serviette et commence à la sécher.

Je lui ordonnais ensuite de me suivre dans une salle pour que je remplace son collier de travail par son collier de tous les jours, puis nous partîmes vers la chambre, je lui tendis alors son pyjama.

Je lui permis pour cette première nuit de dormir avec moi dans mon lit, « au cas où elle pleurait à nouveau que je puise, être là rapidement »

LES TOURMENTS D'ALICE(en réécriture)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant