Chapitre 1 Le début de la fin

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Point de vue d'Alice

De doux rayons traversèrent la vitre de la verrière de ma chambre.

Je me frottais les yeux fatigués.

J'avais encore cherché cette chose qui me hantait et obsédait au point d'en perdre le sommeil. Une nuit encore, où je n'ai pas trouvé ma chimère que cela soit sur des sites de rencontre ou forum. À chaque fois que je l'effleurais et que je pensais avoir trouvé la perle rare je me rendais compte à force, que finalement ce n'étaient qu'un personnage que mon interlocutrice ou interlocuteur avaient créé, que pour eux c'est un personnage qui jouait, du rôle Play et rien de plus.

Je me dirigeai donc vers ma cuisine d'un pas lent pour prendre quelque chose à manger et à boire. Quand soudain une alarme retentit depuis mon ordinateur, je pris mon temps pour revenir vers lui, car je n'avais plus envie d'être déçue.

À mon retour, j'ouvris la notification sur un site de rencontre bdsm puis commençais à lire le message privé. Ce dernier venait d'une jeune fille, une certaine Rosalie Ren, elle avait 26 ans et était une dominante. Lorsque je finis ma lecture, je réfléchis plusieurs minutes me demandant si j'avais envie de lui donne sa chance, puis répondis au message en posant mes questions habituelles avec quelques pièges ;

1)qu'elle était les étapes importante avant, pendant et après une séance ?

2)quel était la définition d'après la jeune fille d'un aftercare ?

3)Quel rapport avait la jeune femme vis-à-vis du safeword et de l'aftercare ?

4)Qui était la personne aux commandes pendant une session ?

5) s'il n'y avait pas de safeword comment savoir si la séance se passe bien ou pas ?

6)s'il était impossible de parler comment peut on mettre fin à une session ?

À ma grande surprise, mon interlocutrice répondit correctement à toutes mes questions de manière très détaillée après quelles minutes ;

À ma première question, elle me dit qu'avant tout séance il fallait discuter des pratiques, de l'aftercare, des limites et des interdits de chaque personne, qu'ensuite si le courant passait bien une séance pouvait être envisager, pendant la quel le ou la soumis(e) pouvait à tout moment demander une pause ou l'arrête de la session, à la fin de la session il y avait un aftercare et une fois les deux revenues à la réalité il pouvait y avoir un débriefing.

A la question suivante, elle mit que pour elle un aftercare était un moment a la fin de la session pour aider les deux partenaires à revenir à la réalité, quand général les termes de ce dernier se faisait avant de commencer une séance, que cela pouvait être de boire de l'eau, être prit dans les bras ou enrouler dans une couverture.

La réponse suivante était que pour elle, l aftercare et le safeword étaient très important et que si la personne en face n'y voyait aucune utilité aucune séance ne devait être fait car c'était un très gros signe de manque d'expérience.

La jeune fille répondit ensuite à la question suivante que la personne qui dominait vraiment était la personne qui se soumettait car c'est lui qui donnait le cadre dans le quel le ou la dominante pouvait pratiquer.

Rosalie donna ensuite comme réponse que si le ou la soumise n'avait pas de safeword personnel, il existait un code de quatre couleurs dit universel ;

1)blanc, les coups manquent de puissance ou la punition est trop légère

2) vert, la douleur est juste se qu'il faut et tout va bien

3) jaune on ralentit sur le rythme ou on change d'objets ou d'actions.

LES TOURMENTS D'ALICE(en réécriture)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant