Chapitre 18 Le miroir sans tain

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Point de vue de maitresse rosalie 

Le matin suivant, je n'avais pas beaucoup dormi, je me réveillais au son de mon téléphone, lorsque je répondis enfin ma mentore était à l'autre bout du fil.

- Bordel, Rosalie, dis-moi ce qui se passe sinon je viens chez toi. Menaça-t-elle d'une voix qui traduisait son inquiétude.

- J'ai eu un gros problème avec ma soumise. Commençais-je. Je suis désolée si je t'ai inquiétée

- Dis-moi juste une chose et je viens la récupère pour lui faire comprendre son erreur a cette sale garce. Dit Evangeline de sa voix la plus glaciale.

- Cela va aller, je vais gère. Mentis-je.

- Non, rosalie, je sais que tu me mens. Dis mon amie d'une voix soudaine très douce. Je te connais. Tu ne vas pas réussir à le faire, car je suis désolé de te le dire, mais tu n'es pas une dresseuse de brat.

- ...

- Ne t'inquiète pas, je ne vais pas la tuer. Dit-elle sur le même ton. J'ai toujours dressé les soumis(e)s sans jamais dépasse leurs limites.

- Laisse-moi lui demande si elle a envie de continue et si oui je te l'amènerai

- OK, je te fais confiance, courage ma petite rose, tu en auras besoin.

Je sortis de mon lit puis allais dans mon bureau puis écrivit une lettre tout d'abord mon ressenti puis lui demandait si Alice voulait toujours continue notre relation, je finis par la prévenir que si elle voulait continuais sa punition serait terrible.

Une fois la lettre dans une enveloppe avec la clef du cadenas puis allait prépare son petit déjeune « je n'espère pas son dernier dans cette maison », pensais-je.

Une fois ce dernier prêt, je mis son assiette, son verre de jus d'orange, l'enveloppe et un stylo sur un plateau que je recouvrais d'une cloche en métal.

Je montais ensuite vers la salle d'isolation en respirant calmement.

Après avoir déverrouillé la porte, je dépose rapidement mon chargement devant Libra qui m'attendait dans la bonne position.

Après avoir verrouillé la porte, je repartis ensuite en direction de la salle de bain pour prendre une douche pour me réveiller et pouvoir pleurer.

Une fois cette dernière finie, j'allais enfiler des vêtements corrects pour aller voir ma mentore ; une simple robe noire.

Lorsque je fus prête, j'allais voir ou en était ma « soumise », je respirais un grand coup puis entra dans la pièce où elle m'attendait cette fois encore dans la bonne position.

Je m'approchais d'elle d'un pas très lente, puis une fois près d'elle je soulevais la cloche et ressentis un mélange de joie et de crainte par apport à son choix « bien, je dois envoyer un message à Evangeline, elle est compétente pour ce genre de choses peut-être même un peu trop » pensé-je en sortant avec le plateau.

Une fois le plateau ranger et l'assiette dans l'évier, je pris la clef que je mis dans une nouvelle enveloppe avec les limites de ma soumise et ma demande de pouvoir être présente lors de sa punition.

J'allais ensuite récupère quelque accessoire dans le donjon avec des larmes aux yeux.

Une fois que j'ai tout ce que je devais, je retournais voir ma soumise en séchant mes larmes.

- Laisse-toi faire ! dis-je d'une voix autoritaire.

Je commençais par retire sa tenue ensanglantée, je lui attachais ensuite les poignets et les chevilles, je lui bandais finalement les yeux puis attachait une laisse a son collier.

LES TOURMENTS D'ALICE(en réécriture)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant