Chapitre 59 Un lien inattendu

26 1 0
                                    

Pdv de Alice

Notre hôte nous propose de monte dans son grenier puis de l'attendre, car elle devait quand même libre sa femme de sa tenue.

Nous montâmes donc vers notre destination.

Alors que nous étions dans la pièce ; maitresse Rosalie, dame Hanna et Cléo sur un grand canapé, quant à Margaux elle était à genoux sur son sac à dos devant maitresse rosalie et moi, je me rendis compte que dame Sanae ne m'avait pas dit ou était son matériel pour pratiquer.

Au moment où j'allais partir demander, Margaux me chuchota qu'elle avait pris nos cordes dans le petit sac qu'elle avait sous les genoux, elle m'avoua avec un petit sourire qu'elle pensait peut-être j'en aurai besoin pendant notre séjour.

Je l'attrapais alors par son collier, je la tirai vers moi et lui chuchota que je la remerciais, mais que je ne serai pas plus gentille pour sa punition.

D'une voix un peu provocante, elle me répondit qu'elle n'en espérait pas moins de moi.

À ces mots je ne savais pas vraiment quoi répondre.

Maitresse rosalie, qui s'était glissé dans son dos, lui chuchota à son tour que vu la tournure de la situation cela serait mieux si nous étions deux pour nous occuper d'elle, si bien sûr j'acceptais son aide.

Tout en disant cela elle prit délicatement les poignets de Orphéa pour les maintenir dans son dos.

Je ne répondis pas à ma maitresse, mais à mon regard elle comprit que je la remerciai d'être venue à mon secours.

Avec une petite voix malicieuse, dame Hanna prévint ma soumise qu'elle avait dans sa valise un instrumente tout à fait parfait pour punir les rebelles.

Cléo quant à lui ne savait pas trop où se mettre.

Je remerciais respectueusement dame Hanna pour sa proposition, mais que je préférais utilise pour le moment mes mains pour tous qui était impacte.

À ce moment-là, la porte dans notre dos s'ouvrit, laisse apparaitre dame Sanae et Elsa dans une simple robe bordeau en soie.

Alors que je voulais me relever pour lui laisse le passage sur le canapé, elle me fit un petit sourire, puis ordonna à sa femme de se mettre à quatre pattes pour lui servir de siège, une fois bien installée elle nous dit qu'elle était prête à regard et savourer chaque instant.

D'une voix un peu tremblante, j'ordonnais a Orphéa de retire tous ses vêtements, sauf ses sous-vêtements, puis de m'attendre sous la poutre à genoux.

Je pris une grande inspiration, et je la rejoins avec Maitresse Rosalie après avoir sorti plusieurs rouleaux de cordes du sac.

Une fois près d'elle, je ne commençais pas lui lier le buste et les bras de mes mains légèrement tremblantes, après vingt bonnes minutes, notre soumise ne pouvait plus bouge.

Je fis vérifier mon harnais et mes passages de corde à Rosalie (comme j'étais dans un jour de repose et que je remettais Margaux à l'ordre, je pouvais appelle maitresse rosalie simplement rosalie) elle me sourit et me dit que tout allait bien.

Je m'attaquais ensuite à attacher le bassin d'Orphéa et ses jambes toujours avec mes mains qui tremblaient.Une fois que j'ai fini, je refais vérifier l'ensemble de mon œuvre à la jeune fille, qui à nouveau me donne son feu vert pour continuer.

Je pris une corde, que je double, je relis le bassin de Orphéa et la poutre.Je la fais ensuite lentement monter grâce à l'aide de Rosalie en suspension inverser.

Une fois qu'elle est en position, je la regarde quelques minutes.

À sœur en tailleur était la tête en bas à trente centimètres du sol, les bras liés dans le dos. Il y avait des cordes qui la retenaient de tombe accroche au niveau de ses jambes, son dos et ses hanches.

LES TOURMENTS D'ALICE(en réécriture)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant