Chapitre 63 Devoir et honnête

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Pdv de margaux

J'ouvrit lentement mes yeux à la lumière qui passait par la fenêtre dans la pièce que j'habitais.

Je remontais, après avoir légèrement émergée, la fine couverture sur mon corps, quand soudains un bruit de déverrouillage se fit entendre.

Je pris rapidement ma position d'excuse et attendit de voir qui était ma visiteuse matinale.

Quand je vis ma sœur entrée je fus un peu soulagée car elle m'avait promis de toujours me protège mais quand elle m'appela par mon autre prénom je compris que je n'avais pas ma protectrice en face de moi mais ma maitresse.

Pendant tout notre discussion, j'essayais tant bien que mal de retenir mes larmes, car oui j'avais commis ces fautes mais c'est juste que j'étais vraiment très excitée d'avoir un camarade pour des cours de shibari et pouvoir me soumettre aux personnes que j'aime était vraiment génial, ce qui me faisait un peu oublie mon statut.

Quand elle me demanda si j'avais des idées de punition, je ne pus retenir mes larmes.

- Knife. Dit tout à coup Alice en remarquant mes larmes et me relevant pour me prendre dans ses bras.

- Non je peux le faire laisse-moi vous le prouver. Suppliais-je les larmes aux yeux.

- Margaux, je sais que tu veux bien faire, mais si je dis le safeword c'est que j'estime que cela a été trop loin.

- Alice je t'en supplie fait moi confiance, je suis capable de subir d'autre punitions. Articulais-je entre deux sanglots.

- Je te fais confiance margaux et toi aussi tu dois me faire confiance. Si je pense que tu as dépassé tes limites il faut me croire.

Au fond de moi j'étais heureuse qu'une de mes deux copines m'ait pris dans ses bras, car j'en avais besoin aux vues de la nuit que j'avais passé, mais d'un autre coté je me sentais nulle comme soumise car je n'avais dû que passe une nuit dans cette pièce sans coup ni punition physique et avec mes habits alors que quand Libra arrivait dans cet endroit, c'était souvent après une grosse punition et elle avait des entraves et nue, de plus elle pouvait y reste plusieurs nuit et devais malgré tout faire son travail la journée.

Après que je sois calmée, Alice me porta dans ses bras jusqu'à la salle à manger.

En arrivant, maitresse rosalie nous avait fait une salade de fruit, elle nous salua tout comme Cléo et nous demanda si nous avions bien dormis, Cléo regretta sa question en voyant les cerne d'Alice, elle lui dit gentiment que ce n'était pas grave en allant vers une place libre pour me faire descendre, voulant reste encore un peu auprès de ma copine je refusais de la lâcher.

Au début personne n'osa parler puis, maitresse rosalie me demanda si j'avais dépassé nos limites, je répondis timidement que oui sentant mes larmes montées à nouveau. Notre maitresse me rappelle quelques règles de base qui furent appuyer par Cléo ce qui me fit très mal puis par Alice qui reçue alors à son tour une remise en ordre, puis maitresse rosalie nous annonça qu'aujourd'hui s'était le dernier jour de Cléo chez nous.

En entendant la mauvaise nouvelle, je pris conscience que j'avais dépassé les bornes, que j'avais été très égoïste et que par conséquent Cléo n'avait pas pu vraiment profiter de son séjour ni des cours que maitresse rosalie lui avait donné.

Lorsque je le pris dans mes bras, je sentis des larmes couler sur mon épaule.

- Je suis désole. Commençais-je en serrant un peu plus mon étreinte.

- Tu...n'as pas besoin de t'excuser. Dit entre deux sanglot mon ami.

- Si j'ai été un peu égoïste et je ne t'ai empêché d'apprendre des nouvelles choses dans le shibari et d'apprendre pendant ton stage en informatique. Continuais-je sentant aussi mes larmes couler.

LES TOURMENTS D'ALICE(en réécriture)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant