Doucement je dérive,
La nuit m'emporte
Aux loin des rives,
Je me laisse elle m'escorte.Elle m'enveloppe sans chaleur,
Comme une douce flamme,
Qui lentement de froid meurt,
Et puis souffle son âme.Je me perds dans les allées,
M'enfonce dans les bois sombres,
Oú le manteau d'arbre épais,
Joue le rempart d'ombres.
VOUS LISEZ
Apprendre à pardonner
PoesíaLes souvenirs sont éphémères, mais les mots sont éternels. J'écris pour ne rien oublier. Pourtant, le passé n'existe plus, autant que le futur n'existe pas. Pour avancer, je devrais donc oublier, je devrais donc pardonner. Et tout commence par mon...