Chapitre 14

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Une mare, puis un lac, une mer et maintenant un océan! Bientôt un gigantesque tsunami de fléaux allé déferler sur les exorcistes.
Suite au mot de la femme, le ciel s'était comme fendu en deux laissant apparaitre un trou béant, noir, sans fin...
De long doigts, crochus, courts, tordus, griffus, terrifiants c'était alors glissé hors de la cavité, s'accrochant au bord de cette tache dans le ciel.
Des têtes d'une ignominie sans nom c'était alors extirpé de la fosse et avait poussé des râles, des gémissement, des cris tous plus strident et atroce les uns que les autres.
C'était comme si la Terre avait arrêté de bouger, le temps était suspendu, plus rien ne faisait un mouvement, tous observait leur pire crainte, leur pire cauchemar, leur pire peur se matérialisé.
Les abominations sortaient une par une du trou, puis deux par deux, quatre par quatre, puis bientôt 10 par 10 et maintenant il en sortait par centaines.
Des monstres de toutes sortes, des créatures horrifiques, des fléaux révulsant, des démons d'imaginations.

Il y en avait un millier voir plus.

Un soudain haut le coeur attrapa aux tripes chaque personne assistant à cette scène, certains les recrachèrent, d'autres pâlirent à vue d'yeux, et d'autres restèrent stoïque, sous le choque, ébranlé.

Les yeux de Choso n'avait jamais était autant ouvert, il avait l'impression de voir enfin, que pendant toutes les années de sa vie il avait été aveugle. Aveugle de cette puissance, de ce pouvoirs, de l'immense don que posséder certains Hommes.

Il voyait maintenant. Maintenant plus que jamais.


Des survivants, des habitants, des exorcistes étaient sortis de leur cachette pour venir assister à leur fin. Tous le monde se rassembler, levant la tête vers cette vague de destruction qui aller inexorablement s'écraser sur leur tête.
Certains pleurer, crier, d'autres se laisser tomber sans aucun mots comme s'il s'écrouler sous le poids de la réalité. Et puis il y avait ce qui se préparer à ce battre contre cette marée de fléaux, prêt à tout pour survivre.

Choso détourna le regard du ciel qui s'assombrissait déjà, le soleil bientôt complétement caché, il regarda son petit frère à sa droite et les larmes lui montèrent. Il l'aimait lui et il l'aimait elle. Et une seul vérité s'imposer à lui. Il devait la tuer pour le sauver lui.
Pourtant il n'en avait pas la force, alors il profitait de ces dernières images de son frère adoré. Il aurait tant voulut le serrer dans ces bras lui dire à quelle point il l'aimait, mais il n'avait pas ce genre de relation.
Alors il se contenta d'observer son profil dans la lumières orangé de la fin de journée. Il sourit tristement en pensant à tout les pique-niques qu'ils auraient put faire, à tous les sorties entre frangins, au dîner de fêtes tous les deux. Seulement rien de tous ça n'arrivera.

Il admirait les personnes qui se préparer à se battre, qui avait encore espoir. Si Y/n avait prononcé ce simple mot en lançant le sort ce n'était pas par hasard. Le nom du sort parlé de lui même.

Leur instinction allé avoir lieu, inévitablement.

Il reporta une dernière fois son regard vers l'endroit où ce trouvait la femme et eu juste le temps de voir son regard améthyste qu'il ne lui connaissait pas avant que la ville sois plonger dans le noir total.
Les premiers fléaux retomber déjà sur le groupe comme les vagues s'écrasant sur la plage. L'homme entendit des cris, des hurlements de douleur, des bruits d'os qui se brisent, des bruits atroce de succions. Les gens se faisaient massacrer les uns après les autres dans un chaos absolu.

Un rayon de soleil traversa le voile obscur qui se tenait au dessus de leur tête. Celui-ci vint frappait sur le corps d'une femme se faisant déchiqueter par un monstre. Un homme qui tentait de fuir en accourant vers la lumière ce fis vite attrapé par une de ces abominations.
Celle-ci glissa ses doigts épais et crochus à l'intérieur de sa bouche ouverte et avant même qu'un son puisse en sortir le visage de l'homme se retrouva couper en deux dans un bruit de craquement visqueux qui fis sursauter Choso.
Le monstre le jeta ensuite sur le corps plongeant sa mains dans son dos en re sortant la colonne vertébral sanglante de l'homme.

Pouvoir et déshonneur (Choso x reader)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant