Imagine 7: Au stud

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             Après un diner en tête à tête avec Mathieu, celui-ci eu besoin de repasser à son studio pour finir un morceau pour un prochain feat. Allongé sur le canapé du studio tu l'admires pendant qu'il se concentre sur son travail.

Ses cheveux blond décolorés commençaient à dévoiler des racines brunes. Penché sur l'ordinateur du studio, il fredonnait ce qui deviendrait le prochain tube de l'été. Son visage concentré dévoilait deux petites rides au niveau du front. Moulé dans un t-shirt blanc qui dévoilait son corps musclé, il était facile de comprendre pourquoi il avait autant de groupie.

Tu aurais pu passer des heures à observer les moindre de détails que tu connaissais déjà par cœur. La cicatrice qu'il s'était fait en tombant sur scène, son grain de beauté sur l'épaule droite, l'expression de son visage quand il tentait de se retenir de pleurer sur Mamie. Que tu retiennes tous ses petits détails faisait de toi sa plus grande fan. Sans y prêter attention, tu pensais tout haut : j'ai de la chance de l'avoir.
Il détourna son regard du clavier pour te répondre un sourire au lèvre :
- C'est moi qui est de la chance de t'avoir t/p.

Il se leva de sa chaise, puis te rejoignit au bord du canapé pour déposer un baiser sur ta tempe. Il te souffla :
- Endors toi j'en ai plus pour très longtemps.

Avant qu'il ne puisse t'échapper, tu le retins pour l'embrasser intensément. Des lèvres étaient chaudes et douces. Leurs mouvements
s'harmonisaient comme des notes de musiques qui tendent à former la plus belle des partitions.

Comblé de bonheur tu t'endormis sans y prêter attention. La dernière chose dont tu te souvenais était d'avoir été embarqué dans ses bras telle une princesse jusqu'à la voiture, avant qu'il t'ai bordé dans votre lit dégageant au passage les mèches égarées sur ton visage.

Mais cette soirée n'était rien comparer au bonheur que tu ressentais en te réveillant contre son torse nu le lendemain matin. Ses bras entouraient ton corps dégageant une légère chaleur. Sa peau était douce et ses mains posées sur tes hanches, t'apportais un sentiment de réconfort. Sa respiration était lente et les rayons du soleil commençaient à pénétrer à travers les volets de votre chambre. La vie avait un semblant de paradis sur Terre.

Dans un léger mouvement, il resserra ses bras contre ton corps. Puis, les yeux ensommeillés, il murmura au creux de ton oreille :
- Bonjour Mme Pruski

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Ai-je oublié de préciser que vous étiez marier ?

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