chapitre 8 : au club ( 2 partie)

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Arrivée en haut, je fais face à la bande, les filles sont ensemble et parlent avec les copines. Roméo va s'assoir vers son cadet, Antonio.

Je sens le regard perçant de Loucas sur moi, alors que je vais rejoindre les filles. Il ne peut pas plutôt porter son regard sur Amanda, qui est collé à lui, comme un vieux chewing-gum collé à ses chaussures cirées. En parlant de ces chaussures cirées, il s'est mit sur son trente-et-un, il porte un pantalon à pince bleu foncé et une chemise blanche à boutons, qui sont sur le point d'exploser. Il a vraiment hérité d'un corps sculpté par les dieux. Les cinq derniers boutons de sa chemise sont ouverts, et on a une vue dégagée sur sa puissante poitrine recouverte d'encre noire.

Niccolos va se servir un verre de whisky où plutôt deux. Il bouillonne de rage, l'attention de tout le monde se porte sur lui .

- Il a quoi ? me demande Gréta, et l'attention vient se porter sur moi.

- Rien, juste que le gars en bas ne savait pas qui j'étais, j'omets de leur dire la plus grosse partie.

Niccolos me lance un regard noir, puis vide le reste de son verre. Je détourne le regard, faisant style de n'avoir rien remarqué. Il secoue la tête déçu, que je ne dise pas la vérité.

- Oh mais il ne s'est pas passé que ça !! commence à dire Roméo.

Je secoue la tête pour lui faire comprendre de se la fermer. Tout le monde nous regarde à tour de rôles, et je me serait bien passé de toute cette attention. Surtout que lui ne me quitte pas des yeux depuis que je me suis assise .

On doit pas avoir le même sens de signification, avec mon abruti de cousin, vue qu'il ouvre sa grande gueule.

- Figurez-vous, qu'il a pris lée pour une pute !!

- PUTAIN DE MERDE !! proteste fort Dario, en me regardant de la tête au pied, et en m'adressant un sourire moqueur. ( le bâtard, il en n'a clairement rien à foutre de moi. Au contraire, ça l'amuse. )

- Et le pire c'est qu'il lui a demandé, combien elle demande pour un fellation. Je sais pas comment vous les recruter mais ça doit pas être pour leur intelligence, sinon ça se serait, crie Niccolos en pointant du doigt les quatre jeunes hommes en question, Darios , Loucas, Armando et Edoardo

- IL A QUOI !? commence à demander Loucas sur une voix froide et dépourvue d'émotion, tout le monde se tait et porte leur attention sur leur chef.

Il se lève, repoussent brutalement sa pute et vient se placer devant la balustrade, à côté de son plus jeune frère.

L'atmosphère devient macabre, alors qu'il regarde en bas. J'ai déjà peur de ce qu'il va se passer, quand il cogne il ne fait pas semblant. Il est comme les chiens qui se sauvent, ils n'ont plus de rappels après. Lui, c'est pareil, je l'ai déjà vu à l'oeuvre et c'est pas joli, joli.

- C'est bon, je réglerais ça. Je suis sérieuse je réglerais ça, mais toute seule.

J'ai pas besoin d'eux pour me défendre surtout pas de lui. J'ai déjà eu à faire à des mec comme lui à NewYork et leur vrai problème c'est qu'ils sont faible mentalement et que leurs muscles ne leur servent à rien devant plus intelligent qu'eux. C'est pour ça qu'ils adorent s'en prendre à plus petits et faibles que, ils se sentent forts et supérieurs pendant quelques heures.

- Tu la ferme !!! Tu ne vas rien régler, me dit Loucas en me regardant avec froideur.

- Après je le comprends. Tu ressemble à l'une de nos pute, habillée comme ça !!

Il me regarde de la tête aux pieds avec aversion.
Je fronce des sourcils de mécontentement, alors que Dario éclate de rire et qu'Amanda ricane .

- Tu peux me dire pourquoi tu ricanes ?

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