Devil's Offspring

chapitre 10 : lui possessif mais nonn !!!

LOUCAS

- Plutôt crever, que d'imaginer la moindre petite possibilité qu'il pourrait un jour, je dit bien un jour, se passer un truc entre toi et moi ! Me crache t-elle au visage avec colère

-Oh chérie ne dit pas un truc que tu n'es pas sur de tenir, ok ? Il ne faut jamais dire, jamais ! Dis-je en la regardant dans les yeux, avant de la relâcher.

Elle me repousse et se sauve, avec grâce et élégance. Je regarde sa silhouette ou plutôt son petit cul bien ferme dans cette robe rouge. Qu'elle est provocante, elle mériterait une bonne fessée pour porter ces vêtements sexy.

Et je me ferais une joie de la lui mettre, et pas qu'une.

J'y réfléchirai pour la prochaine fois, peut-être qu'elle devrait être plus obéissante avec moi !

Je regarde ma voiture, et la scène se rejoue dans ma tête.

Elle était si.... sexy, avec ses joue rouge , ses yeux brillant de luxure .

Je jure et ajuster mon menbre dur dans mon pantalon, puis me retourne pour retourner au club, quand je marche sur un truc à mes pieds. Je baisse les yeux pour découvrir un bout de tissu. Je le prends en main et découvre un petit string à dentelle blanc .

Je porte ce petit bous de tissu à mon nez, et inhale sa douce odeur.

- PUTAIN !!! Sifflé-je.

Je range ce petit dessus blanc dans ma poche, alors que la pression dans mon pantalon devient difficiles.

Une fois au club, il faudra que je trouve Amanda.

La foules et la musique sont toujours aussi bruyante quand je retourne dedans.

Je cherche Amanda mais la trouve nulle par !!

Elle est jamais là quand il faut ! Mais quand on a pas besoin d'elle, t'inquiète pas elle est là !

Je monte au deuxième étage, les carrés VIP. C'est là que je la vois, entourée de ces deux copines, je m'aproche d'elle et l'appele de ma voix rude.

Elles lèvent leur tête, et me regarde les trois.

- Suis moi ! je lui ordonne avant de faire demi tour et de partir. Je ne regarde pas derrière moi pour savoir si elle me suis, je sais qu'elle me suis. Elle obéis comme tous les autres.

- où va-t-on? me questionne-t-elle. alors que nous somme toujours au deuxième étage.

Je ne lui réponds pas, et rentre dans l'une des nombreux pièces, suivi d'elle. Je ferme la porte derrière elle, puis la plaque brusquement contre le mur avant de l'embrasser brutalement, elle répond à mon baisser alors que ma langue domine la sienne.

Elle touche mon entre-jambe et ses yeux brille de désir. Je la retourne, elle place ses main sur la porte fermée. Je remonte sa robe jusqu'à sont bassin puis descends au genou sont string, je fais glisser les bretelles de sa robe libérant ses seins. Je les malaxe et les pince fort et elle crie de douleur. J'enfonce brutalement trois de mes doigts en elle.
La pénétration soudain la surprenant, puis elle gémis bruyamment quand mes doigts s'active en elle .

Je continue le mouvement de mes doigts, forts et rapides, alors que son orgasme la frappe. Elle se retourne pour m'embrassers mais je la remets en place brusquement. Après avoir défait ma ceinture et déboutonner mon pantalon , je sorts ma bite, qui et maintenant aussi dur que du fer .

Je fouille dans mon portefeuille à la recherche d'un préservatif. J'arrache l'emballage avec mes dents et l'enfile sur mon menbre qui palpite. Puis je m'enfonce en elle, sans ménagement, ces gémissement de déplaisir retentit dans la petite pièce. Je ressort et me renfonce en elle, mes coups de reins sont rapide et brutal. Avec ma main gauche je tire sur ces cheveux et elle braille son déplaisir. Un sourire malsain se dessine sur mes lèvres ferme, alors que c'est elle que j'imagine dans la position d'Amanda.

ELLE à qui que j'empoigne les cheveux.

ELLE qui serait courbée pour moi .

ELLE qui gémit mon prénom.

ELLE que je baiserais brutalement.

Je ferme les yeux alors que c'est elle, que j'imagine encore.

Mes poussées deviennent plus rapides à mesure que je me rapproche de la jouissances.

Elle jouie et je libére ma jouissance , dans un rugissement de plaisir. Puis je me retire d'elle et jette le préservatif dans le cendrier.

Je remonte mon pantalon, et réajuste ma chemise avant de sortir.

Je rejoins Édouardo, qui regarde les gens se défouler sur la piste. Je prends le verre de whisky que vient de me tendre l'un de mes hommes et le porte à mes lèvres. Alors que moi aussi, je porte mon regard sur la piste.

C'est là que je la vois.

Elle est là sur la piste avec sa copine. Entourée hommes. Elle me jette un bref regard fuyant, avant de reporter son attention sur le type qui lui touche les hanches.

Ma mâchoire se crispe.

Je sais pas si elle le fait exprès, de m'énerver, mais je commence en avoir plus que ras le bol, d'elle et de son foutu caractère !

Je l'ignore et finis mon verre. Edouardo me dit qu'il a emmené le gars de la sécurité dans la salle grise à casino, à l'abri des regards, sous surveillance.

Amanda est revenu, elle me lance son plus beau sourire comblé. Je détourne le regard d'elle sans réagir.

Je suis sur le toit du club avec les gars, quand je regarde l'heure sur mon téléphone, 3h ! Je sors une cigarette de mon paquet, et la mets à mes lèvres, puis je l'allume à l'aide de mon briquet.

J'ai toujours aimé l'odeur de la clope, on peut dire que je suis même acro. Je préfère être acro à ça, qu'à la coke. J'ai les idées claires avec, et pas le cerveau à l'envers comme les drogués des bas-quartiers.

Surtout que la coke, n'importe laquelle, t'empêche de bander. Je préfère largement baiser que d'en prendre.
Même s'il m'arrive d'en consommer assez souvent.

- Dans deux jours, y a le gala d'enchères. Il faudra bien se préparer on ne sait jamais ce que ces enculé, auront derrière la tête ! nous dit Armando

-Oui on a intérêt à rester sur nos gardes. Même si c'est une œuvre de charité, en connaissant les Rizzo, ils en auront rien à foutre de savoir qu'ils sont a un événement d'enfants malades, pour nous tirer dessus comme des lapins, ajoute Stéphano en me regardant.

- Papa a déjà pris des mesures là-dessus, il nous mettra au courant en temps voulu, je leur dis. Même si c'est moi qui gère les plus grosses partie des affaires, pour le moment le chef reste mon père et c'est lui qui a le dernier mots pour les plus grosses décisions à prendre.

Surtout quand ça concerne sa famille et le gang.

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1123 mots

Je m'excuse du retard j'aurais dû finir ce chapitre bien plus tôt, mais le manque d'inspiration ne m'a pas était une grande aide. 😅😅

Et aussi le fait que j'étais à fond sur un mec, mais qu'au final c'était un vrai connard. Pourquoi les homme parfait sont toujours ceux dans les livres ? 📚 😍

Quel serait votre Bookboyfriend idéal ?