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" 深まる ばかり "
The pain in my heart just gets worse

































































Je regarde une nouvelle fois l'adresse qui était inscrite sur ce bout de papier que le directeur m'a donner et lève une nouvelle fois les yeux vers cette immense maison.

Elle était belle d'apparence. Avec un jardin incroyablement gigantesque mais d'où plusieurs fleurs étaient faner sans avoir être déracinés. Les feuilles qui collaient la façade du mur donnant un air provincial à la maison, cette couleur grise sur une façade rocheuse, comme ci on y avait enfermer raiponce.

Malgré ça, je sentais que quelque chose clochait au fond de moi.

Je me retourne vers le chauffeur qui ne me lâchait pas du regard, sans doute pour ne pas me perdre de vue. Ils nous avaient ouvert le portail et me voilà devant sa porte.

Je ne sais pas pourquoi, moi qui avait l'habitude d'être sociable et d'oser parler a n'importe qui avec tant de bienveillance, je me retrouvait maintenant à stressée devant une porte.

Comme ci quelque chose de désastreux m'attendait de l'autre côté. Et puis, je vais juste lui donner ses devoirs, juste ça.

Je respire un bon coup et m'apprête à sonner. Je retire mon doigt en sautillant de stresse avant de fermer les yeux et de souffler

— Tu vas juste lui donner ses devoirs Aiko. Tu ne verra rien faire de dramatique, tout va bien.

Malgré mes propres mots, cette boule au ventre ne voulait pas s'en aller. Je pris mon courage à deux mains et appuie sur la sonnette.

La porte ne s'est pas ouverte. Au départ, je pensais qu'il n'y avait personne, mais au bout de 10 minutes, j'ai tourner les talons et ai préférer m'en aller.

Mais au moment où mon pied descendait les marches, la porte s'est ouverte. J'ai senti mon cœur exploser dans ma poitrine quand j'ai entendu sa voix.

— Aiko ?















































M I Z U K I

















A mon réveil. Les rayons du soleil tapait fortement contre mes paupières, ce contact me fit atrocement mal, j'avais cru avoir reçu un coup de soleil et que le sel s'y était incruster.

J'ouvre doucement les yeux, qui semblait être gonflé vu la sensation. J'étais toujours au sol, dans la même position, personne ne s'était préoccuper de mon état.

Mais à quoi je m'attendais ? A ce qu'on me porte jusqu'à mon lit ? Comme ci on m'aimait réellement ? Et même dans mes rêves, ma mère me haïssait comme jamais on ne l'avait fait.

Avec le peu d'énergie qui me rester, j'avais réussi à me lever, en m'appuyant sur mon lit. Une fois assise dessus, avec le miroir juste en face de moi, je constatais les dégâts de la veille.

Âmes sans cible. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant