Âmes sans cible.

10

" いつまでも生きるみたいで夢を見る
今日死ぬかのように生きろ "
Dream as if you'll live forever
Live as if you'll die today.

Mais cette fois, son sourire était différent. Elle avait l'air faible, très faible. Les rayons du soleil était encore plus présent, comme ci il l'illuminé.

Je m'avance vers elle. Le cœur serrer et les larmes ruisselantes.

— Aiko..

Elle lève la tête et perd doucement son sourire, comme ci elle ne voulait pas que je vienne.

Je m'approche doucement d'elle et l'a regarde. Pose mes mains sur son visage et me met à pleurer.

— Je te déteste tellement de ne m'avoir rien dit. De ne pas m'avoir dit que tu te sentais mal et de m'avoir menti pour ne pas m'inquiéter. Je te hais Aiko.

Son sourire réapparaît. Mais cette fois ci, il me faisait plus du mal qu'autre chose. Je sentais que c'était la fin, mais je ne voulais sûrement pas l'admettre, pas maintenant.

— Tu sais Mizuki. J'ai toujours voulu t'aider, mais je n'avais jamais oser par peur que tu le prenne mal ou que tu te fâche

— Qu'est ce que tu racontes..

— Je t'ai jamais oublier. Tu as été la seule à me prendre par la main pour me faire découvrir le monde et je t'en serais éternellement reconnaissante

— Tu as.. tout fait toute seule. Tu n'avais pas besoin de moi

— Oh que si. Mais oublions. Prend soin de toi Mizuki, prend soin de tout ce qui t'es cher

— Plus rien ne m'est cher.. tu étais la seule personne qui m'a estimée et qui a bien voulu m'écouter

— Je te l'ai dit. Plein de gens autour de toi attende que tu te rende compte à quel point ils t'aiment

Mes larmes ne cessaient de couler et ça en devenait vraiment suffoquant. J'étais totalement inconsolable.

— Je t'aime vraiment beaucoup, ne l'oublie pas et oublie moi si cela peut te rassurer et te permettre d'avancer

Un long silence s'en ai suivi. Aiko pose sa tête sur son oreiller correctement. Elle ferme doucement les yeux et en l'espace de quelques minutes, un long bruit sourd se fait entendre.

J'avais l'impression de devenir folle. L'impression d'étouffer et que ça ne pouvait pas être elle. Pas être notre fin à toute les deux.

C'était impossible qu'elle puisse me laisser tomber, pas possible qu'on ne m'ai pas emporter à sa place.

Je pose ma tête sur le lit et me met à pleurer sans me contrôler.

— Je t'aime aussi Aiko..

Mizuki se mis à pédaler à nouveau mais avec moi d'énergie qu'au début. Elle était comme vider de toute son énergie.

Ses larmes ne l'avait pas quitter et la nuit commençait à tomber. Elle se sentait vide. Vide de toute émotion, comme ci on avait aspirer avec Aiko, son âme.