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" 好き "
I like you















































A mon réveil, les 3 chats de ma tante se trouvait dans ma chambre. Elle ne vivait pas dans une maison comme dans celle que je vivais. C'était plutôt un seul étage mais bien espacée et j'aimais beaucoup.

Je me lève et me rend dans la salle de bain. Je me lave et me brosse les dents avant de mettre des vêtements propres.

Je rejoins ma tante dans le salon avec ses fils tous plus jeunes que moi. Quand on finit, je débarrasse et fais la vaisselle.

Aujourd'hui j'étais censée rejoindre Aiko, elle voulait me montrer quelque chose qui lui tenait à cœur, je me suis ruiner le cerveau pour savoir ce que c'était mais rien.

J'ai même essayé de l'amadouer pour avoir quelques informations mais même de ce côté là c'était top secret.

J'avais l'impression qu'elle travaillait avec le FBI avec toutes ses cachoteries et ses messes basses.

Je suis monter dans ma chambre après avoir fini de préparer le déjeuner avec ma tante. Mon téléphone venait de vibrer. Je le saisie et voit le nom d'Aiko s'afficher.

Elle n'avait pas l'habitude de m'envoyer de message quand on avait finaliser une sortie. Je trouvais ça vraiment bizarre.

Je ne viendrais pas finalement. Je suis désolée de te fausser compagnie Mizuki. Mais cette fois, je ne peux pas sortir. Une prochaine fois peut être !!

J'affichais une mine désoler. Je ne lui en voulais pas, tant qu'elle essayait de prendre soin d'elle, c'était tout ce qui m'importait.

Je pose mon téléphone et descend prévenir ma tante que j'irais au marché avec elle en fin de compte.

Elle était bien contente que je l'accompagne. Elle aime quand on s'intéresse de plus près à ce qu'elle fait, et l'a voir sourire me fait chaud au cœur.

— On part dans 10 minutes. Ça te va ?

— Oui bien sûr

Je monte me préparer et descend quand ma tante m'appelle pour y aller. Je prend mon carnet comme à mon habitude et mon téléphone. J'en profite pour répondre à Aiko.

Ce n'est rien. Tache de prendre soin de toi. On se verra demain, moi aussi je dois te montrer quelques chose.

J'éteins mon téléphone et le met dans ma poche. Nous quittons la maison et nous nous engageons vers le marché où quelques personnes allaient aussi.

L'ambiance la bas était joviale. Je sentais une fraîcheur qui remplissait mes poumons. L'odeur des fruits sucrés qui se mélangeait entre elles pouvait mettre l'eau à la bouche à n'importe qui.

Ma tante disait bonjour à tous le monde et donc m'entraîner à faire de même. Elle voulait que je sois impliquer dans la vie, comme ci elle cherchait à ce que je trouves quoi faire plus tard

Elle me présentais à tous le monde comme étant la fille de sa sœur mais qu'elle me considérait comme sa propre fille.

Les gens à qui elle parlait était enjouée et trouvait ça mignon. Ils l'a connaissaient tous et lui apportait vraiment beaucoup d'affection, chose que personne de ma ville n'apportait à ma mère. Sûrement parce qu'elle était répugnante et que ça se voyait.

Ma tante c'était tout son contraire. Une femme avec un bon esprit et qui sait de quoi elle parle. Mais le fait de ne pas avoir eu de fille, l'a rendait un peu dur avec moi.

Mais je ne lui en voulait pas du tout. Elle m'a beaucoup aider, sans qu'elle ne s'en rende compte, à passer à autre chose.

Pendant que ma tante prenait des mandarines, j'écoutais une discussion entre un monsieur et une vieille dame.

Ici, tous le monde se connaissait visiblement. C'était le village où vivait Aiko, pas très loin de chez moi mais c'était tout de même plus paisible que de mon côté.

— La pauvre petite. Elle était tellement rayonnante

— Oui. Je plains sa mère. Elle va être seule avec son mari maintenant, un mari qui voyage tous le temps et qui n'en n'accorde jamais à sa seule fille

— Mais tu es sur qu'elle est à l'hôpital ? Sa mère nous aurait prévenu non ?

— Et pourquoi elle l'aurait fait ? C'est pas nous qui allons sauver sa fille, c'est déjà cuit pour elle à la pauvre gamine

— Si on aurait pu l'aider on l'aurait fait. Mais que faire ?

Je décide de m'approcher d'eux. J'avais un mauvais pressentiment et voulait en avoir le cœur net et être sur qu'ils ne parlaient pas d'elle.

— Excusez moi d'interrompre votre discussion, mais vous parlez de qui ?

— Aiko Yamamoto. Vous l'a connaissais ?

— Ai.. Aiko ? Dans quel hôpital est-elle s'il vous plaît ?

Lorsqu'ils m'indiquent l'hôpital, ni une ni deux je grimpe sur mon vélo et me met à pédaler sous les cris de ma tante qui me demandait de m'arrêter et où est ce que j'allais.

Mes larmes coulaient à flot mais à ce moment là ce n'est pas ce qui m'importait le plus. Je pédalais de plus en plus vite à en perdre haleine.

Je ne voulais pas qu'elle parte, pas maintenant du moins. J'avais besoin d'elle. Besoin de quelqu'un comme elle dans ma vie, qui m'aiderait à aller mieux.

Je dépassais même les voitures et roulait sur la route sans emprunter la voie pour les vélos. J'étais déterminer à ne pas l'a laisser s'en aller sans l'avoir vu une dernière fois.

Je sentais mon cœur se décrochait, il battait à en rater plusieurs battement, j'entendais les klaxon des autres véhicules mais ma tête n'y était pas.

J'avais tellement peur. Peur de me retrouver seule à nouveau. Je ne voulais pas. Aiko était la pièce manquante de ma vie. C'était la lumière qui me fallait pour trouver la sortie de ce tunnel.

Une fois arriver je balance mon vélo et entre dans l'hôpital tout essoufflée.

— Aiko.. Aiko Yamamoto

— Vous êtes de la famille ?

— Je vous en supplie.. c'est tout ce que je vous demande. A l'a voir.

Les larmes ne cessaient de couler. Mon cœur était tellement serrer que j'avais l'impression que je n'arrivais plus et que j'allais bientôt en mourir.

Elle m'indique sa chambre avec hésitation. Je ne prend pas l'ascenseur et monte directement avec les escaliers.

Je cours avec les dernières forces qui me restait et arrive devant sa chambre. J'ouvre la porte et l'a voit.

Sa mère a son chevet avec sa main dans la sienne. Elle l'a souriait comme elle avait l'habitude de faire.

Mais cette fois, son sourire était différent. Elle avait l'air faible, très faible. Les rayons du soleil était encore plus présent, comme ci ils l'illuminé.

Je m'avance vers elle. Le cœur serrer et les larmes ruisselantes.

— Aiko..














𝑴

Âmes sans cible. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant