Âmes sans cible.

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" 誰 化 助けて "
someone save me

Je n'osais pas lui poser la question, de savoir ce qui lui était arriver, alors je ne lui ai rien dit. J'ai fais comme ci de rien n'était et tout cela me fondait le cœur de ne pas savoir ce qui l'a rendait si vulnérable.

— Je vais y aller

— Mh.. attend.. je.. je ne penses pas revenir au lycée

— Ah bon ? Mais pourquoi ? Pourtant tu n'es pas nulle en cours Mizuki

— Ça n'a pas de rapport avec ça. C'est juste que.. je ne penses pas pouvoir continuer. C'est tout

— .. d'accord. Mais je pourrais quand même passer te voir ?

Elle me regarde un instant, comme ci elle hésitait. Au final, elle a juste hocher la tête. Je lui souris une dernière fois avant de l'a saluer de la main et de m'en aller le cœur lourd et rempli de question.

Je ne savais pas ce qui l'a tracassait autant, ce qui l'a bouffait de l'intérieur, mais une chose est sûr, c'est que quelques choses s'est passer.

Une fois dans la voiture, le chauffeur démarre et nous partons directement. Son bleue ne passait pas inaperçu et je risquais d'y penser pendant un long moment si je n'avais pas les réponses à mes questions.

— Tu penses qu'elle va bien ?

— J'en doute Aiko.. elle a besoin d'aide

Et sur ses mots là que pour la première fois, j'ai senti que je devais lui tendre la main sincèrement, comme elle l'avait fait pour moi quand nous étions plus jeunes..

Une fois arriver, je descend et rentre. Ma mère descendait au même moment les escaliers, elle vit ma mine triste et me pris dans ses bras.

— Tu sens la cannelle

— Je sais chérie. Je viens de prendre une douche. Qu'est ce qu'il t'arrive ? T'as une petite mine.

— Rien de bien spéciale. Mais tu te souviens de Mizuki ? En maternelle

— Mizuki ? Ça ne me dit rien

— Cette petite fille qui avait forcer pour que les autres m'intègre quand j'étais nouvelle. Elle était très agitée mais était tout de même une bonne élève

— Oh, cette petite fille là ? Eh bah qu'est ce qu'il se passe avec elle ? Tu l'a retrouver ?

— Elle est dans le même établissement que moi depuis. Mais c'est la première fois depuis longtemps qu'on se retrouve dans la même classe

— Ensuite ?

Au moment où j'allais lui déballer tout ce que j'avais vu, quelque chose me disait de ne pas en parler. Que Mizuki n'avait pas donner son accord pour que j'en parle, qu'elle ne m'avait à aucun moment demander de l'ouvrir.

Je regarde ma mère qui avait l'air inquiète. Je lui souris légèrement pour l'a rassurer, comme pour lui dire que tout allait bien.

— Rien, je suis juste soulagée de voir qu'elle se porte bien. Même si nous ne sommes plus copines comme avant