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Drogue. Alcool. Musique.

Drogue. Alcool. Musique.

Drogue. Alcool. Musique.



Ces trois mots ce réalisent quand mes trois copines et moi entrons dans el K.O.T et comme par réflexe, je touche mes cachets alors que j'ai bien pris le double. Ce soir je compte m'amusé et oublié mes problèmes. Accompagnée de Vera, Oumy et Valentina, je m'avance vers le bar à la recherche de boissons alcoolisés. La musique assourdissante est à fond supplément déjà une quarantaine de personnes sont entrain de danser alors qu'on commence la soirée avec un tournée de shots de tout genre. Assise à une table, je regarde les personnes dansées, leurs peau transpirante brillent ainsi que celle de Valentina qui est sur la piste, me fait signe de les rejoindre. Avec elles, je tourne sur moi même, ris, bois, respire. Si le mot béatitude était des personnes se serait mes copines. Essoufflée, Je reprends mon souffle mais une nouvelle musique qui m'est pas inconnue apparait. Par les enceintes, on peut entendre:

"And in my mind, in my head

This is where we all came from
The dreams we have, the love we share
This is what we're waiting for

And in my mind, in my head".

Une vague de voix s'élèvent dans la salle ainsi que nous. On saute en chantant et en rigolant. Mais en me tournant, j'aperçois une silhouette. La sienne. A lui. Lui qui hantée mes pensée alors qu'il me sortait littéralement des yeux.


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El K.O.T, 21h42,Los Angeles

Kian Oscar Torres:


Bordel. J'avais prévue tout sauf ça. J'avais tout prévue sauf la voir. Ce soir. Elle a peut être oublié mon nom mais moi je ne l'ai pas oublié. Lys. Rien que de me le dire m'excite alors l'entendre, n'en parlons pas. Cette fille, je l'ai vu une seule fois et en une seule fois dans ma vie c'est la seule qui m'a marqué. Je souris comme un con penché sur la barrière me séparant de la piste, en regardant si personne me voit entrain de fantasmer sur une meuf de passage que je n'aurais jamais. De un parce que je suis mauvais pour elle comme pour toutes les filles et je ne pense pas qu'une fille comme elle veuille d'un mafieux qui vend toutes sortes de trafics et encore moins un qui a du sang sur les mains. De deux car je m'en fou de ma vie amoureuse, la seule chose qui m'intéresse dedans c'est le sexe. On me connait pas que par rapport à mon expérience dans le gang ou dans El K.O.T mais principalement dans les plans culs et l'argents que je verse à l'intérieur pour soulagé mes boules. On peut dire que je suis un connard qui profite du corps des femmes, mais du moment où on me donne un feu vert et son consentement, pour moi il n'y a aucun problème, même si oui je suis un gros connard. De trois car je supporte pas le sérieux et je ne crois pas en l'amour. Enfin pas totalement. Pour moi le sérieux n'existe pas, pas chez moi en tout cas. J'aime beaucoup trop mes plans du soir, se qui rejoint la deuxième raison. D'ailleurs, demain soir j'en ai un à vingt heure. Et de quatre, elle est inaccessible. Inaccessible. Entièrement. Je lâche un léger rire en l'observant danser. Ca fait un quart d'heure qu'elle est arrivée accompagnée de ses copines et de la petite préféré d'Allen, quinze minutes que je l'a regarde comme un obsédée. Plus je l'a regarde, plus je l'a trouve jolie. Putain, quel avion de chasse! Je secoue la tête de droite à gauche pour faire dégager les quelques idées salaces qui me restait . Merde, qu'est-ce qui me prend bon sang? Je n'ai jamais fantasmé et encore moins bandé sur une personne. Les idées en place, je repose mes yeux sur elle. Ou plutôt dans ses yeux. Ses iris bleu sont clair mais profond à la fois. je pourrais m'y noyais comme n'importe quelle personne. Kian, tu coules... Elle s'est arrêté de danser et me fixe tout en se décomposant. Elle a comprit. Elle vient de se rendre compte que depuis tout ce temps que je l'a contemplé. En même temps, comment ne pas détaillé chaque parcelle de sa peau couverte d'un tissue blanc. Je me demande en quelle matière est sa longue robe. En lin? Non se serait transparent. J'aurais tellement apprécier pourtant. Faut vraiment que je m'arrête. Ses cheveux sont lâchés et bouclé se qui lui fait l'effet d'un carré alors qu'ils sont long jusqu'en dessous de ses seins. Je suis autant intéressé que ça? Je ne sais pas combien de temps on reste à se regardé mais je ne pense pas beaucoup, en tout cas ses copines ne l'ont pas remarqué. Je crois que mon regard sur elle l'insupporte car elle me dévisage d'un air méfiant voir de dégout. Pour pimenter le tout, je laisse ma langue se balader langoureusement sur mes lèvres et souris accompagné d'un clin d'oeil. Elle lève les yeux au ciel et je rigole, satisfait. Je m'apprête à plonger mon regard pour une énièmes fois dans le sien mais une main se presse sur mon épaule. Tourne la tête et vois la bouille toute heureuse d'Allen.

𝐻𝐴𝑇𝐸𝐹𝑈𝐿-𝑃𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟 𝑡𝑜𝑚𝑒 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant