IRÈNELes lumières se nuancent à la charge électrique de la musique assourdissante.
Les bonds du son semblaient faire titiller les perles blanches de ma robe. Chaque fibre de la musique témoignée immodérément ma convoitise de m'accoupler avec la piste - de profiter sans m'interroger du lendemain.
Mes sorties du soir étaient l'une de mes activités, que ne pouvait y remédier.
Quoiqu'il en soit, cela était né de l'impossible, avec une telle robe, il ne sera pas évident de s'amuser aisément.
Assise au rang VIP, à mes côtés Aren étant celui à ma sécurité de ce soir, le canapé en cuir était rectangulaire, juste à flanc, séjourner le résidu du clan des Fernandez, dont Alejandro préservant un regard me dévêtant de faveur, à en savourer progressivement mon corps.
Le plus proche du groupe était Diego assis à ma droite et à ses bras deux femmes brunes.
Ils étaient tous tenus escorter d'une femme, et plus proche deux stripteaseuses, une en sous-vêtement écarlate, avec une mince dentelle, tandis que l'autre porter une tenue des plus torrides. Elles s'adonnent à nous exposer leurs aptitudes sur la barre métallique au cœur de la pièce.
- Tu devrais en profiter, un maximum avant ton départ, me murmura-t-il dans les oreilles Aren.
Son souffle chaleureux semblait pénétrer en moi, faisant un effet à la chaleur de mon estomac. Aren avait de tels regards doux sûr moi ce soir, que cela ne manqua pas de me faire perdre le rythme de mon cœur.
- Tu aimerais que je me mette à nu sur la barre aussi ?
Aren rit, un rire empreint de joie, qui se consolide avec le rayonnement violacé de la boîte de nuit. Un rire s'ensuit de mes lèvres par la suite, je n'avais jamais été autant prononcé de gaieté qu'en cet instant depuis mon arrivée chez les Fernandez.
Je sens la magnétique d'un regard parrainé sur moi, qui jurerait soutirer habilement mon âme d'une délicatesse rudesse.
L'azur phare des iris d'Alejandro heurta les ternes prunelles de mes yeux, éteint de l'insipide de notre relation.
Le comportement d'Alejandro de ces derniers temps avait été marqué par mon esprit, il était désireux de l'impossible.
Ce qui le consume finement, était intégralement corporel, j'étais l'objet de ses désirs érotique. Ce qui rendait cette situation critique, ce n'était pas ses envies à lui, mais les miennes.
Depuis des mois, mes envies sexuelles me tourmentaient sans relâche, créant en moi une tension insoutenable.
Chaque jour sans la chaleur d'un homme ravivait cette brûlure intérieure, la transformant en une obsession incontrôlable.
Autrefois, j'avais mené une vie sexuellement épanouie, mais soudain, un vide béant s'était installé, me laissant dépourvue de toute maîtrise.
L'idée même de succomber à Alejandro me terrifiait autant qu'elle m'attirait. Son aura envoûtante éveillait en moi des désirs interdits, des frissons parcourant mon corps à la simple pensée de ses caresses.
Pourtant, derrière ce voile de désir, se cachait une profonde répulsion, un dégoût viscéral qui me nouait l'estomac dès que je contemplais cette possibilité.
Plutôt succomber à la sombre emprise de la mort que coucher avec l'homme ayant tenté d'éradiquer la vie de mon frère.
Aren ne rendait pas les choses faciles, il me déclara ouvertement son attirance. Il était loin d'être voilé de laideur, au contraire, ce qui était mauvais aussi. Je pouvais passer à cette action avec lui.
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Fernandez
ActionUne ville balnéaire, un pays en proie aux flots tumultueux de la discorde. Une cause ? Une organisation. Alejandro Fernandez Diaz, un dirigeant puissant, cruel et célèbre pour sa férocité mythique ; il possède tout un monde. Allan Serenity, réputé...