𝟑𝟐 - 𝐀𝐔 𝐑𝐄𝐕𝐎𝐈𝐑

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Bonsoir je n'ai pas fait de relecture donc vous pouvez rencontrer pas mal de fautes.

Bonne lecture


IRENE


Mes dents grinçaient continuellement sous l'assaut brutal de mes battements de cœur irréguliers. Ma vision se façonna aux images des vêtements au sol et de mon corps intégralement nu.

L'incompréhension me grognait de l'intérieur, m'assène des frissons de l'ignorance, me sombrant dans une folie faisant le serment de se manifester à toute allure.

Bordel...bordel ce n'est pas possible !

Je ne restais pas une minute de plus dans le foutu lit dans lequel j'avais peut-être consommé mon mariage, et me défile des draps noirs sans prendre conscience de ma nudité, et pénètre le dressing.

Le désespoir avait la coutume d'enfoncer ma plaie, comme en cet instant où je comprends qu'aucun de mes vêtements n'était ici. Une vague de buée larmes causées à ma fureur naissante, fleurit au sein de mes muqueuses des yeux vulnérables.

Je déniche une chemise blanche de l'enfoiré qui m'a mise dans cette position, ainsi qu'un de ces pantalons noirs et toute suite, je vis la généreuse contradiction de taille de ses vêtements sur moi.

Je maintiens le pantalon avec une ceinture que je ne tarde pas à saisir de l'armoire cristalline.

En boutonnant avec promptitude la chemise trop large, mes yeux atteignent sur les morsures sur mon abdomen. Dans quoi m'étais-je lancé ?

Les paroles que m'avait un soir dites Pablo me reviennent d'une intensité funeste.

Señora, l'ignorance est la plus grande faiblesse, elle peut induire à la confusion qui peut parfois être la naissance d'un chaos. Et tu es ignorante.

L'ignorance de cette situation était ma faiblesse.

- Putain de merde ! fis-je le tour de moi et me tirant de haut les cheveux.

Ne tardant pas un instant de plus, je quittais d'une rapidité concrète la pièce ayant scellé mon destin dans l'ombre néfaste, bien que j'ai subsisté toute une éternité dans les ténèbres.

À chacun où mes pas tapotent impétueusement le sol, des images reviennent tangentiellement. L'image où je déposais mes lèvres contre celui d'Alejandro, l'image quand il explore mon corps avec sa bouche avide de goût.

J'atteins finalement le grand salon, ou je pouvais discerner mon époux, assis avec son air d'arrogance, en train d'échanger avec l'un des frères face à celui-ci.

Tout le monde s'était présenté à table en cette matinée alors que la plupart du temps, certains étaient plus partant pour un déjeuner sur un matelas chaud.

Je me dirigeai vers Alejandro, qui ne manqua pas de me remarquer immédiatement, arborant un sourire malsain qui me déstabilisa.

Mon arrivée fut si soudaine qu'elle ne passa pas inaperçue aux yeux de toutes les personnes autour de la table, attirant leur attention comme un éclair dans la nuit.

Des applaudissements suivirent les hommes Fernandez, des applaudissements moqueurs, en vue de mon allure. On pouvait de loin savoir ce que j'avais fait hier soir.

- On doit parler, attrapai-je par le bras Alejandro assis. Tout de suite !

Il esquissa un sourire si sournois, qui m'empesta une haine prête à me couper la circulation sanguine.

- Dis-moi ce que tu as à me dire ici, dit-il d'une intonation joueuse.

Je continue à le tirer, mais en vain, mes efforts n'avait aucun effort.

FernandezOù les histoires vivent. Découvrez maintenant