La fin d'une liaison

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On vient d'arriver à Chicago.

Klaus : bienvenue à Chicago, vous deux.

Je sortis de la voiture suivi par Klaus et Stefan.

Stefan : qu'est-ce qu'on fait là ?
Klaus : tu adorais cet endroit.

Klaus ouvrit une énorme porte en bois. Je regarda le paysage.

Alyzée : la dernière fois que je suis venu c'était avec papa.
Klaus : ça te rappelle des souvenirs de l'époque du boucher, Stefan ?

Un camion arriva.

Stefan : j'ai à peu près tout oublié. Du sang, des fêtes, j'ai oublié les détails.
Klaus : c'est vraiment dommage. Ce sont les détails qui font la légende. On dit que le boucher de Montrrey s'ennuyait. Alors il est allé en ville. C'était la Prohibition. Tout était interdit à l'époque, c'était tellement mieux.

Souvenirs perdus de Stefan, Chicago, 1920

Je tua ma victime. J'essuya ma bouche, pris sa barrette, la mis dans la poche de mon costume et sortit de la voiture. Je toqua à une porte.

La porte s'ouvrit. J'entra dans le bar. Je se mis à la balustrade. Gloria chante.

Gloria : devinez qui je viens de voir, mesdames. On veut s'amuser, M. Salvatore ?
Stefan : réserve-moi une danse, Gloria.

Je descendis les escaliers. J'allais prendre un verre mais une femme le fit à ma place.

Stefan : je vous en prie, servez-vous.

La femme se retourna.

??? : c'est ce que je fais toujours. Attention, M. Salvatore.

Elle s'approcha de moi et se colla. Elle me chuchota.

??? : vous portez encore votre petite amie. Elle est adorable.

Elle allait partir. Je lui pris le bras.

Stefan : non, non, non. Qui êtes-vous ?

Elle mit son doigt sur sa bouche et partit.

Fin des souvenirs perdus de Stefan, Chicago, de nos jours.

Klaus : Chicago était magique.
Alyzée : c'est vrai. Chicago est magnifique.
Klaus : alors, au boulot.
Stefan : pourquoi on est encore avec toi ?

Klaus ferma l'énorme porte en bois, vu que le camion était passé.

Stefan : on s'est bien amusés, tes hybrides sont ratés, passe à autre chose.
Klaus : on va voir ma sorcière préférée. Si quelqu'un peut nous aider avec ce problème d'hybrides, c'est bien elle.

Klaus ouvrit la portière de la voiture. Je rentra dedans suivi par Klaus et Stefan. On arriva à un bar.

Souvenirs perdus de Stefan, Chicago, 1920

Je parle avec des personnes. Nous buvons et rigolons. La femme de la dernière fois arriva.

??? : désolée de vous déranger, mais certains d'entre nous sont ici pour la musique. Pas vous.
Stefan : je suis désolé, trésor. Vous a-t-on offensée ?

Elle s'approcha de moi.

??? : il faut beaucoup plus qu'un visage d'enfant pour m'offenser.

Je la rattrapa avant qu'elle ne parte.

La famille Mikaelson Où les histoires vivent. Découvrez maintenant