Terra

Tenebris Magicae

Après cet événement je me retrouve assise devant le bureau de Mr.Péricles, notre professeur en cette matière. Il est vêtue d'un longue cape verte sapin et porte des lunettes ronde dorée contrastant avec ses cheveux en pétard noir.
Il nous explique le déroulement de chaque début de cours, un questionnaire oral pour savoir si oui ou non nous avons retenue notre leçon précédente et un contrôle des chapitres se fera chaque fin du mois.
Je l'adore déjà, j'adore les défis et j'espère réelement en connaitre plus sur la magie noire. Mon professeur passe dans les rangs nous distribuer des documents, qui je pense est la première leçon. J'attrape la feuille dans mes mains et conclue que nous allons commencer par identifier les différentes magies existantes au seins du Royaume, puis le professeur nous annonce que le prochain chapitre sera sur les différentes nations.

Nous sommes dix a suivre cette spécialité. Monsieur Péricles nous parle du fonctionnement des magies et de leurs substances.

-Par exemple, j'excède dans la magie élémentaire, la mienne n'est autre que le feu. Cet élément peut etre dangereux si vous ne le controlez pas, il est de nature fluide, et se propage donc assez vite. Prenons l'exemple d'un d'entre vous.

Le pofesseur demande a un garçon blond de donner sa magie.

-Bien merci jeune homme, la votre lunaire, vous pouvez la faire apparaitre quand bon vous semble sans n'etre épuisé. Elle permet d'éclairer faiblement tout comme elle peut aveugler un adversaires au combat. L'on pourrait croire que c'est une honte de ne posséder cette magie mais croyez-moi elle aide énormement.
Si vous le voulez bien, quelqu'un possède t-il une magie d'espièglerie parmis-vous ? En regardant un pars un les élèves.

Personnes ne répond, alors il nous fait savoir qu'il existe trois de cette sorte. L'invisbilité, qui comme son nom l'indique peut nous rendre invisble, la téléportation qui ne fonctionne que dans un périmètre de 15 kilomètres maximum, et la dernière qui se nomme l'affiliation du cerveau qui nous permet d'entrer en contact d'une personne sans qu'elle ne s'en rendre compte, entre autre lire dans ses pensées.
Il nous défile une dernière magie se décrivant comme etre extremement rare. Mais alors qu'il commenca sa description un son mélodieux retentit dans la classe. Mr.Péricles nous demande de rester et sort en laissant la porte ouverte. J'apercois les professeurs des salles du meme étages sortir en se regardant étonnés. Que se passe-t-il ?

Le son s'emplifie, se faisant entendre dans tout le chateau. Les professeurs ordonnèrent a leurs élèves de rester en classe et dès lors qu'ils partirent je me leva comme le reste de mes camarades. Je regardais autour de moi, et une multitude de corbeaux tournèrent en cercle au dessus de nous. Qu'est-ce-qu'il se passe ? Que cela signifie ?
Les notes de piano s'arretent, tout comme les corbeaux qui atterissent sur l'herbe de la grande cour. C'était étonnement étrange, mais intriguant sur la question de, qui a pu produire cette mélodie si harmonieuse et mélancolique ?
Je retourne en classe mais me stoppe devant la porte, et du coin de l'oeil vis Adriel, scrutant fixement ces oiseaux de l'enfer, comme si il leur en voulait. Je m'arrete de le regarder et retourne en classe pour ne plus penser a l'évennement qui c'est produit, meme si cela va rester dans mes occupations célébrales pour un moment jusqu'a que j'en ai découvert la source.
La fin du cours a sonné, toute la classe est sortie. Je me retrouve près du bureau du professeur, ma sacoche sur l'épaule prete a lui poser cette question.

-Bonsoir Yris, puis-je t'aider ? En me souriant bienveillant.

-Bonsoir monsieur, oui j'aimerai vous demander si la magie noire sera bientot abordée ?

-Oui, elle sera abordée dans le chapitre 3 après avoir connue les autres magies. Pourquoi cette empréssement si soudain sans vous importuner ?

-Et bien je ne pourrais vous le dire maintenant pour de nombreuses raisons mais je suis curieuse et impatiente d'en connaitre d'avantages. En lui esquissant un sourire.

Il fit de meme puis lui souhaite une bonne fin de soirée et me retourne la politesse.
Cette poussière dorée, fine, et reconnaissable entre mille, c'était elle j'en suis certaine. Mais comment est-elle arrivée ici, a Déros ? Aucun membres de la Royauté n'a étudiée ici, du moins plus depuis deux ans maintenant. Monsieur Péricles nous dira-t-il la cause de ce changement soudain ?

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Sur un banc en pierre avec Loria nous mangeons notre diner. Ce que j'apprécie ici, c'est que les banquets ne sont pas obligatoires. Avec notre sandwich au thon mayonnaise pour moi et au jambon beurre pour elle, nous accompagnons ceci avec des carottes rapés et des morceaux de comté. Je lui annonce mon observation de la poussière et me dit que je délire car comment aurait-elle pu atterir a Déros sans que nous nous apercevions d'un membre Royal. J'hausse mes épaules étant une partie d'accord avec elle, mais de l'autre je reste sur ma détermination a découvrir sa provenance.
Tandis que ma meilleure amie est sur le point de manger son morceau de comté, un corbeau énorme jaillit et le lui prend. Mon amie lui ordonne de relacher son morceau car la nourriture pour elle est primordiale et personnes n'y touche. Elle poursuit le corbeau, qui lui continue sa volé vers mon sol pleureur. Je souris face a cette scène quand j'entendis un souffle a coté de moi. Je tourne ma tete précipitamment et vis Lucius, toujours en noir mais cet fois-ci des bijoux dorés accompagne son cou et ses poignets. Ses manches de chemises sont retroussées mis bras et une bagues se trouvant sur son annulaire gauche m'interpella.
Il me demanda si j'allais bien et lui répondis affirmativement, puis lui retourne la question. Comme réponse il hoche la tete et ses lèvres s'incurvent du coté gauche.

-Si ce n'est pas trop direct ou as-tu obtenue cette bague ? En montrant son doigt d'un geste du menton.

Il suit mon mouvement et reste a fixer ce bijou d'éternité, sans dire un mot. Puis se leva, en s'excusant et me passant une bonne soirée tout en allant vers le chateau. D'accord je dois l'admettre, cette bague doit etre un sujet privée mais de là a ne meme pas me dire au moins quand est-ce qu'il l'a eu c'est quand meme un manque de politesse.
Je plisse ma jupe correctement lorsque mon amie revint de sa chasse poursuite avec ce corbeau. En s'asseyant elle me fit la remarque que c'est bizzare cette apparition soudaine d'autant de corbeaux dans une meme journée, comme si cette mélodie les avaient rapprochés de Déros. J'hoche la tete comme signe d'approbation puis lui propose de monter dans nos chambres respectives ce qu'elle ne refusa pas et tant mieux car je dois réviser mes leçons de demain.

Ca doit faire bien deux heures que je révise et l'épuisement me gagne, m'effondrant sur mon bureau ma tete nichée dans mes bras.

Que se passe-t-il ? Ou suis-je ? Je ne suis jamais allé dans cette foret. Elle n'est envahie que de pins gigantesques et un épais brouillard humide est présent. On pourrai croire que nous sommes au chateau mais je me trompe. Distinctement j'entend un miaulement, j'accours vers ce bruit aigu, mais une scène affreuse s'y trouve, sa maman est allongé et lui est a coté, pleurant la mort de sa maman grise et noire. Je m'avance doucement vers le petit chaton et le serre calmement et en douceur dans mes bras voulant le réchauffer.
Je dépose délicatement des branches de tailles moyennes et pas trop épaisses autour de la chatte et la recouvre de grande fougères humides. Je laisse au chaton un moment mais un oiseau noir le rase de près. Je m'empresse de le protéger et de faire fuire cet oiseau de malheur. Pourquoi y'a t-il que des corbeaux depuis que je suis arrivée ? Les corbeaux sont signes de mauvais présages, en l'occurence je ne veux pas y croire et ferme les yeux sur cette possibilitée. Je le chasse et blotis le chaton bicolore dans mes bras. Je m'avance profondément dans la foret ne sachant pas ou aller. C'est alors qu'une note de piano retentit. J'avance vers celle-ci espérant trouver quelqu'un mais personne, les tuiles de piano bougèrent toutes seules enfin pas vraiment, je remarque plus distinctement une silhouette. Une silhouette n'ayant rien d'humain car elle n'était que poussières noires et seulement deux iris dorées se virent puis me fixèrent.

Je me réveille en sursaut de mon lit et constate que ceci n'était qu'un reve. Qu'un simple reve Yris.

Coucou !
Alors que pensez-vous de ce chapitre ?
Que se passe-t-il ? Pourquoi autant de corbeaux surgissent de nulle part ?
Notre Yris voudrait bien obtenir cette réponse mais l'obtiendra-t-elle ?
N'hésitez pas a voter et a me dire votre honneteté pour que je m'améliore.
Merci !
Bisous ;)