Jordan Bardella était considéré comme l'un des politiciens les plus prometteurs de sa génération. Il débattait bien, semblait poli et les femmes le trouvaient beau. Il avait gravi rapidement les échelons, devenant le chef de son parti politique, le Rassemblement National. En somme, un gendre idéal pour beaucoup.
« J'ai jamais vu une telle beauté par contre » pensa-t-il en se voyant dans le retour vidéo. « J'ai un meilleur dégradé que Mohammed. En plus j'ai les papiers »
« Dans un concours de beauté, mon chien gagne facilement face à cet idiot » se dit Gabriel Attal, assis en face de lui.
Le Premier Ministre avait accepté le débat mais il commençait à regretter cette décision. Il s'ennuyait pour dire vrai. Certes, il y avait des enjeux immenses. Les deux hommes représentaient la jeunesse (c'est faux) et appartenaient aux principaux partis politiques de droite (Renaissance « centre » bon si vous voulez quoi)
Le débat commença donc. Les deux parlaient avec aisance sur différents sujets.
- Vous vous trompez complètement Monsieur Attal. Ce que vous avancez est la preuve directe du grand remplacement. C'est à cause des étrangers qu'on met le lait après les céréales, le lait représentant les allocations et les céréales les arabes qui en profitent.
- Non mais vous vous rendez compte de ce que vous dites ? Le ciel vous est tombé sur la tête, comme dans Astérix et Obélix ?
- Vous voulez donc donner l'argent des français aux étrangers ?
- Mmm viande.
Etc.En réalité, Attal se défendait bien (ok on dirait pas là mais je vous jure que si). Les deux opposants étaient dans l'attaque. Il faut dire que Bardella était vachement aidé par le présentateur...
- Mais on ne peut plus s'entendre parler ! Monsieur Attal, laissez Monsieur Bardella terminer ! fit Pascal Praud.
Praud lançait énormément de piques et semblait désespéré par les dires d'Attal. Il en alla même an complimenter le président du RN.
Le débat prit fin. Ils allèrent se saluer, tels de bons opposants. Ils se serrent la main. À ce moment là, Gabriel sentit quelque chose de profond en lui s'éveiller. Sa bit-
Non, en vérité il s'agissait d'un sentiment de sympathie. « Je retire ce que j'ai dit. Il est plutôt pas mal » se dit Attal.
- Je suis fatigué, avoua Attal. Ce débat m'a épuisé.
- Oh ? ria Bardella. Ça veut dire que je vous ai bien malmené.
- Non, pas à ce point là. J'ai mal dormi cette nuit en plus.
- C'est pas très hétéro d'être fatigué.
Gabriel, ayant des goûts et un humour semblables au caca sur lequel l'auteure a marché hier, éclata de rire face à la blagounette de son raciste préféré.
- J'ai du temps libre pour le déjeuné. Je vous invite ? proposa Attal devant les yeux rieurs de Bardella.
Allait-il accepter...?
-S
(no offense évidemment, le but est de faire une fanfiction humoristique sur de la politique et pas de faire de la diffamation/ blesser quelqu'un ou de dédiaboliser le RN que la jeunesse emmerde toujours)
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J'ai la France, tu me donneras l'Europe
FanfictionDites vous qu'on est des visionnaires parce qu'on a commencé cette fanfic bien avant le débat (Attal avait refusé notre demande de stage donc on voulait se venger et on a choisit Bardella parce qu'on avait un prof du RN et que c'était drôle) bref en...