Il voyait ça comme de la magie,
Personnifiant son mal-être qui s'évaporait, une folie.
Il y mettait toutes ses économies,
Espérant sortir la tête de l'eau pour quelques minutes, comme un défi.Mais ce soir-là, c'en était trop,
Il savait qu'il ne s'en sortirait pas, même dans le chaos.
Mais il voulait sentir encore plus le profond,
Alors il augmenta sa dose, en quête d'un frisson.Voulant que cela l'entraîne vers l'overdose,
Il snifait sans prendre de pause,
Empiffré dans sa paume, plein le nez,
Sa vision floue, il se sentait piégé.Mais putain, cette sensation de planer était incroyable,
Il ferma les yeux, tout devenait insupportable.
La poussière blanche prenait possession de lui,
Il vivait les dernières minutes de sa vie, en ce soir maudit.Dans cette paix tant attendue,
Cette voix dans sa tête s'était tue.
Son corps ne répondait plus, mais il n'en avait que faire,
Il voulait juste s'éteindre, oublier la lumière.Dans un dernier souffle, il se dit,
« Enfin », la liberté l'emporte, loin d'ici.
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Mes maux
PoetryPlongez dans Mes maux, un recueil de poèmes où chaque vers est une fenêtre ouverte sur les profondeurs de l'âme humaine. À travers des mots délicats, j'explore les nuances infinies de la tristesse, la solitude et la douleur, offrant un refuge à ceux...