Tu menais cette guerre,
Nuit et jour, sans repos ni lumière,
Contre ce mal sournois qui rongeait ton corps,
Un ennemi cruel qui testait ta force et ton sort.Tu as laissé ta chair, ton sang, tes cheveux,
Et malgré la douleur, tes yeux brillaient d'espoir,
Le soir, tu disais que tu allais t'en sortir,
Et c'était là, pour moi, le plus grand des souhaits, le plus beau désir.Mais cette foutue maladie, on ne s'en sort pas,
Au début, on ignorait qu'il ne te restait que quelques mois.
J'aurais voulu être là, près de toi,
Pour t'aider à mener ce dernier combat.Sache qu'on est fiers de toi,
Tu t'es battue jusqu'au bout, sans perdre la foi,
Et ça, c'est ta plus grande victoire,
Tu m'as transmis la force d'une femme qui n'abandonne jamais l'espoir.Je garde nos souvenirs comme un trésor,
Pour m'empêcher de pleurer encore le soir,
Même si la vie t'a emportée,
Tu resteras à jamais gravée dans nos pensées.Repose en paix, maman,
Tes enfants t'aiment profondément.
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Mes maux
PuisiPlongez dans Mes maux, un recueil de poèmes où chaque vers est une fenêtre ouverte sur les profondeurs de l'âme humaine. À travers des mots délicats, j'explore les nuances infinies de la tristesse, la solitude et la douleur, offrant un refuge à ceux...