Je suis de retour. Chez moi. À dire vrai, Les Roches n'étaient pas chez lui, seulement l'endroit ou il avait passé les trois quarts de sa vie à créer de nouvelles œuvres.
Mon vrai chez-moi se trouve sur un champ de bataille.
Son fief des Roches n'était qu'un écueil de terre dans des flots déchaînés, une tour branlante et une forêt de pins.
De toute façon, il l'occupait rarement, si souvent qu'il était à fourrager deci-dela, au nord comme au sud d'Eläroth.
Lorsqu'il entra chez lui, il eut la stupeur de consacrer que son suzerain s'y trouvait aussi.
À 55 ans, Lord Valarr Rugissant gardait une taille svelte et un port altier. En fonction des circonstances, il pouvait se montrer aussi dur et impitoyable que la glace, ou aussi sympathique et chaleureux qu'un feu dans l'âtre. Cependant, il était très rarement dans ce dernier état d'esprit. Surtout depuis le massacre de sa femme et de ses enfants, dans le château familial.
Ca à laissé en lui des marques indélébiles.
«Ah, vous voilà enfin. Vous avez fait un très bon travail.
-Tout le plaisir est pour moi.
-Vous n'avez pas rencontré de difficultés majeures*?
-Tous les villages au nord du gué de la Filante ont étés rasés.
-excellent. Combien de pertes*?
-deux soldats, un chevalier. Ser Rufus.
-Ce n'est pas important. M'est avis que le roi Thorvald voudra se venger, et c'est à ce moment là que la fête commencera.»
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L'Agonie des Royaumes - Livre I : Le Déclin
Fantasía"« Quelle horreur...» souffla Andyl lorsqu'ils s'approchèrent du charnier. Ce qui avait été jadis la petite ville prospère d'Aründil n'était plus qu'un champ de ruines. « Encore des victimes de cette maudite guerre ! » s'exclama Bulwer, fou de rage...
