J'en jure par l'astre des nuits, parles rayons du soleil levant ou couchant ! Jamais monarque de la Perse dorée, jamais roi de la terre ne posa ses lèvres sur pareils yeux. Jamais la fontaine jaillissante du harem, aux jours les brûlants ne lava la rosée perlée une semblable taille. Jamais la main d'un mortel couvrant de caresses un corps bien-aimé ne déroula une aussi belle chevelure. Depuis le jour où l'homme perdit le paradis, je le jure jamais semblable beauté n'est éclose sous le soleil du midi.
VOUS LISEZ
Le Démon
PoetryTRADUCTION : poèmes de Mikhaïl Lermontov Un chérubin déchus, devenue démon va par amour vouloir renoncer aux ténèbres. L'amour est-il plus fort que tout ? Ce poème narratifs Russe du peintre, romancier, dramaturge et poète Mikhaïl Lermontov datant...