VII

1 1 0
                                    

J'en jure par l'astre des nuits, parles rayons du soleil levant ou couchant ! Jamais monarque de la Perse dorée, jamais roi de la terre ne posa ses lèvres sur pareils yeux. Jamais la fontaine jaillissante du harem, aux jours les brûlants ne lava la rosée perlée une semblable taille. Jamais la main d'un mortel couvrant de caresses un corps bien-aimé ne déroula une aussi belle chevelure. Depuis le jour où l'homme perdit le paradis, je le jure jamais semblable beauté n'est éclose sous le soleil du midi.

Le DémonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant