☁︎⋆𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 7⋆☁︎

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─── ⋆⋅☆⋅ ──( PDV Sanemi )─── ⋆⋅☆⋅ ──

Ça faisait maintenant deux heures que je répétais des chansons au hasard sur Spotify avec (T/p). J'étais vraiment déterminé à gagner ce concours s'il pouvait me permettre d'obtenir son pardon. Comme ça, on pourra tout recommencer à zéro et je pourrai lui dire que je l'aime.

(T/p) à posé par terre le micro et a soupiré, ayant l'air légèrement fatiguée. Je me suis un peu inquiété pour elle.

(T/p) : Bon, assez chanté comme ça.

Sanemi : Ça va, t'es pas trop fatiguée...?

(T/p) : Nan, t'inquiètes c'est bon.

Sanemi : Tu veux qu'on fasse une pause ?

(T/p) : Ouais, ce serai bien.

On est allés dans le salon et mon amoureuse m'a servit une tasse de chocolat. On est au printemps mais on s'en fout, le chocolat c'est la vie.

De toute façon je m'en fiche car j'ai tout mon temps. J'ai menti à mon père pour venir ici car sinon il m'aurait jamais laissé aller chez (T/p) pour un concours de chant. J'ai prétendu être collé jusqu'à 18 heures pour être tranquille. En plus, j'habite pas très loin de chez (T/p), 15 minutes à pied maximum. Donc j'aurais le temps de rentrer chez moi. Même si je préférais largement rester avec ma (T/p) et son père gentil plutôt que de prendre le risque de me refaire frapper par le mien.

(T/p) : Sanemi ?

Sa douce voix m'a fait sortir de ma rêverie.

(T/p) : Tu chantes bien.

Je suis resté silencieux un moment, trop choqué pour répondre.

Sanemi : Ah euh... tu trouves...?

(T/p) : Oui. T'as peut-être un caractère de merde mais tu as une voix d'ange.

Je me suis sentit rougir, ma tête entière est devenue chaude comme si mon cerveau allait fondre. J'ai commencé à bégayer comme un idiot alors que (T/p) me regardait avec un petit sourire en coin.

Sanemi : A-ah, bah, heu...merci...

Mon cœur cognait fort contre ma poitrine, je le sentais battre à travers tout mon corps, mes sentiments étaient si forts, ils en devenaient presque incontrôlables. Une sonnerie de téléphone m'a alors brutalement ramené à la réalité. Mon téléphone. Je suis sorti de ma rêverie et j'ai tiré mon téléphone. J'ai regardé l'écran et j'ai vu le nom que je redoutais le plus de lire : « Papa ».

Il a du appeler l'école pour vérifier ma présence colle et apprendre la vérité. L'amour à laissé place à la peur. Mes mains ont recommencé à trembler et mon visage est devenu pâle. (T/p) a du le remarquer car elle avait l'air inquiète et m'a demandé.

(T/p) : Ça va ?

J'ai essayé de me calmer et je me suis levé de table pour décrocher dans une autre pièce. Je savais que mon père allait me hurler dessus et je ne voulais pas inquiéter ma chère et tendre.

Sanemi : Oui t'inquiètes, je reviens tout de suite !

J'ai dit ça avec un sourire forcé que je m'efforçais de rendre aussi convaincant que possible alors que je fermais la porte de la salle de bain, me préparant mentalement à ce que je m'apprêtais à nouveau à vivre.

Lettres d'amour : Sanemi x Reader Où les histoires vivent. Découvrez maintenant