Le premier p'tit copain ravageur:

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                          J'ai détestais un jour car c'était la première fois que je sortais avec un mec , c'était un gars d' une bonne situation que tout le monde rêve de vivre dans leur villa. C'était un métisse chinois du nord de l'Ile  je veux dire son père était métisse et sa mère black et je suis la fille du plateau. Cela faisait un autre problème aussi avec sa famille vu que les gens du haut plateau était réputés par des mauvaises qualités de mentalité et surtout matérialiste et malins. Alors, il était nouveau dans le quartier et il avait les yeux rivait sur moi et il me faisait un tel charme que je n'arrivais à résister, de plus, avec une fille pauvre de mon genre je n'hésitais pas de tomber après ses avances vu que j'en avais marre de la misérable vie que je vivais. Lui le premier avec qui je flirtais, je connais même pas ce que veut dire ni comment aimer d'ailleurs je me détestais avec tous ce qui se passait et qui stagnaient dans ma tête. Clark L. arrivait un p'tit peu a tempérer mes colères au fond de moi. Il avait 5 ans de plus que moi. Un bel homme qui aimait profiter de la vie et surtout frimait. C'était un fils de riche, il bossait un peu loin de la ville et il jonglait entre 2 belles caisse de cet époque! avec son charme ravageur, presque toute mes amies enviaient ma place, quand aux autres, elles faisaient plus partie de mes amies à cause de la jalousie. 

                     J'ai gagné un p'tit peu de confiance en moi car parmi les filles du quartier, il y avait même les filles riches ne l'attiraient pas mais moi??? je n'avait rien, je marchais presque souvent avec mes tangues de bon marché chinois ou parfois des pieds nus quand je suis chez nous ou pour aller au marché, par contre dès que je sors pour aller a l'école ou sortir entre copines, on ne me reconnaissait pas, je suis devenue bimbo intouchable grâce aux maquillage et les blings blings empruntés avec mes potes surtout Meri Y. On dirait que j'étais le genre de "sapeur de Congo" qui est très pauvre mais jamais je le montrerai quand je sortais.

                  Alors, ce mec m'a choisit parmi tant d'autre filles du quartier (c'était mon 1er p'tit copain mais pardonne moi si tout se confond avec les répartitions du livre qui fait du va et viens car c'est un peu nouveau pour moi de l'écrire. Merci), Je gagnais confiance en moi, parfois, il était surpris et ébahit en me regardant et il fini toujours par me dire que je suis belle et sexy avec tous les bla blas qui va avec. Je n'y faisais pas trop attention de peur que ce ne sont que des formules de mots que fonts les mecs barbos (du je t'aime sans le sentir) et des mots juste pour m'attirer dans son panier, je ne faisais pas confiance vu que mes darons (ma mère), ceux qui m'avaient mis au monde osaient m'insulter et comment voudrait-il que je lui accorde ma confiance? et on se chamaillait toujours à cause de cette situation car il était un pervers narcissique et moi une gueularde coquine. Il lui arrive parfois de m'attendre à l'école sans me prévenir et puis c'était la guerre. On se parlait pas pendant un moment. Et il nous arrivait de ne pas se parler pendant plusieurs jours et je n'ai jamais su comment faisons nous pour nous réconcilier mais on se parlais comme ça et comme si de rien était. 

                  Après 2 ans de rencontre il m 'a demandé de lui prouver mon amour mais j'esquivais car j'avais peur de faire ça. Un jour il a voulu me quitter car d'après lui je lui cachais des choses et qu'il me faisais plus confiance d'après tous ce qu'il entendait à mon sujet. Puis je lui ai expliqué mainte fois qu'il ne fallait pas écouter ce que disaient les ragots dans les bas quarts s'il voulait avoir une relation saine et longue durée; mais il m'a envoyé balader en m'envoyant ce mail: "Bon ben tu sais quoi Keïra! t 'as raison mais ... et je voudrais dire une dernière chose!t J'ai extrêmement peur, tu ne m'aimes pas, malgré le fais que tu fais semblant de la jouer bien en ta faveur. Je vis avec pour l'instant, tu n'es pas prêt à changer. Mais j'ai extrêmement peur que si le jour où tu changeras et que tu m'aimeras (j'attendrai), j'ai peur de ne pas pouvoir t'offrir une expérience différente qui saura te rendre heureuse, je m'en voudrais d'avoir fait tout ça pour te décevoir, j'aurais perdu la personne la plus importante pour moi, j'ai très peur, dans tous les cas, rien n'ira; Si tu ne m'aimes pas (comme c'est le cas), et crois moi , ça me fait très mal et me déchire mon être; j'aurais les larmes prêt à couler à chaque rappel ; Si tu m'aimes,(ce que tu évites à tous prix), la preuve, c'est que tu refuses de me présenter ta famille alors que tu te familiarise très bien avec la mienne. J'aurais la peur constante de ne pas pouvoir te faire te sentir mieux comme tu le mérites, ne pas pouvoir te rendre heureuse, te décevoir, te faire du mal. Ce ci est dit, je te souhaite plein de bonheur. Tu ne peux pas faire pire pour me blesser que de ne pas m'aimer Keïra, je suivais toujours à ton rythme et je vois que mon attente sera une éternité mais pour pouvoir débloquer ton affection je vais outrepasser la barrière de l'envie de te l'exprimer autrement en pas en action mais plutôt passive. Je sais que je n'ai jamais été bon, mais pour toi j'étais prêt à me mettre à fond. Sache que dans l'autre vie, tu seras toujours mon premier choix Keï!"

                     Y a pas 5 minutes après ça, je faisais la course à 100m avec le cœur qui bat plus qu'il ne le faut. J 'étais en larme pour arriver devant leur portail pour lui demander de l'explication. C'était faux! ce n'était pas que je ne l'aimais pas, c'était juste que j'étais toujours sur la défensive aussi loin que je pouvais et il n'arrivait pas à m'atteindre et il en avait marre que je cache des choses et tout le reste. Il disait aussi que je lui réprimandait toujours de ne pas écouter les ragots qui pourraient être vrais ou faux car je me moquais de lui ce qui était faux. J'avais peur c'est tout! Je sentais mon cœur battait trop fort voir même se déplaçait car, je me disais dans ma tête soit je le récupère de suite, soit je quitte le quartier. Je suis venu et à ma très grande surprise et qui me déchirait à chaque fois que je pense à ces moments; il disait à leur boniche de ne pas accepter ma venu et j'ai pleuré devant leur portail tout en envisageant ce que j'allais faire de ma vie dans l'avenir. Je ne savais pas qu'il me regardait derrière la vitre d'une chambre de chez lui et au moment ou je partais, je ne retournais plus le long de l'allé de leur jardin, j'entendais le grincement du chaine de leur barreau et il me courrait après tout en me serrant très fort contre lui. J'étais lamentable. Et s'il avait juste pitié de moi? et s'il faisait ça parce qu'il en avait une autre voir plus ( un jour une de ses ex a appeler et il a expliqué que cette idiote l'aimait encore mais pas lui) et si..... j'accepterai de coucher avec lui, je perdrai ma virginité avant le mariage et je saurai même pas s'il me quittera juste après. J'avais 21 ans à cet époque de ma vie. Certaines amies disaient qu'après 18 ans, je sentirai très très mal car c'est un peu tard.

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Ton indifférence *-*!Où les histoires vivent. Découvrez maintenant