Ton indifférence *-*!

Je pensais à un adieu mais lui pas du tout!

                   Donc je me disais que c'était tard et qu'il ne fallait plus le faire avant le mariage. Le destin n'a pas voulu ainsi, il m'a essuyait les larmes et les morves, et il m 'a pris dans ses bras, on a rentré chez lui dans sa chambre. Je n'arrivais pas à regarder son père dans le salon et on était entré dans l'autre porte de la cuisine qui menait directement en haut. Il m'a dirigé dans la douche de sa chambre. Même si on couchait ensemble avant, je lui ai interdit formellement de me toucher certaines partie de mon corps sous prétexte que j'étais malade, je n'oserai pas faire ça, je trouvais toujours des excuses et je sais qu'il n 'insistait pas car il avait d'autres crush derrière mon dos, et je m'en foutais vu qu'il a respecter mon choix. Je dormais chez lui surtout quand j'étais en règle et ce dernier était endoloris . Mais j'étais surprise car je ne savais pas qu'il en avait marre et qu'il s'est enfin révolté. Après deux ans et 4 mois de relation, j'ai du cédé involontairement car j 'avais honte qu'il me quittait, malgré le fait que presque le membre de sa famille ne m'appréciait pas, il battait pour qu'on soit ensemble et pour moi cela ne suffisait pas car je voudrais peut-être la lune voir plus. En plus ce que disait le ragot à mon sujet me blessait énormément entre autre "KeÏra est un bijou de bon marché! les riches ne veulent pas et les pauvres ne peuvent pas l'avoir!" Dans ma Nation cet adage est une tuerie en mal bien sur. 

                            Avant que je m'affalais sur son lit, je restais sans voix. J'avais trop peur de tout et de ce qui va se passer après. Je restais assise face a son armoire glacé de 4 portes. Je me regardais sur le miroir et j'avais les yeux très rouge quand il sortait de la douche. Je n'osais même pas le regarder et il s'était assis devant moi, il m'a pris les mains et sans un mot il m'a embrassé comme si de rien était. Comme si c'était pas lui qui m'avait envoyé ce longue mail qui me tapait les nerfs, de plus il avait les mots juste pour que je cédais enfin. Et si c'était juste des formules de mots genre poème pour me perturber ou encore pire pour me piégé? Juste ciel! aide moi. Mais d'un coup, je me levais et j'ai enlevé ses mains, je tremblais et je lui ai regardé en lui marmonnais ce qui me faisais peur depuis que notre relation était sérieuse. Il m'a rassuré de lui dire tout donc je me lançais en lui disais diagonalement nos triste vie familiale, le fais que je souffre de faire confiance aux autres vu que s'il me ferrai cela, non pas que j'ai peur peur d'avoir mal mais très peur qu'il me quittera des qu'il finira de m'avoir, de plus je lui ai menacé que je le tuerai s'il me quitterai pour une autre après et que je serai très obligé d'être super jalouse après le coup et de.... je racontais encore et il m'a embrassé fougueusement. Je le regardais et il rigolait, comme s'il me rassurait que ça n'arrivera pas et que je devais me laisser aller et lâchais prise. Je lui ai demandé de me donner un verre d'eau; dommage qu'il en avait déjà dans sa chambre, j'avais plus le temps de m'esquiver. Je suis grillé cette fois. Je lui ai poussé et je re-entrais dans la douche et j'avais oublié de fermer la serrure et il entrait me voyant à moitié nue comme une limace en slip dans le baignoire.

            C'était ma première fois. Je lui ai demandé de sortir tout en me califourchon en couvrant mes parties intimes mais peine perdu; il a ôté son t-shirt et il est entré devant moi "n'aie pas peur Keï! je t'aime !" Puis je lui ai supplié ainsi: "stp! si tu m'aime vraiment sort d'ici et file moi un rasoir!" C'était honteux mais j'étais pas prête avec ma culotte de grand mère innocente, j 'avais la honte de ma vie! il souriait en sortant comme s'il s'est moqué de moi. Il entrait en me donnant la mousse à raser et le rasoir encore sellé dans un sachet. Je me suis enfermé pendant une dizaine de minutes et quand je sortais je ne l'ai pas vu. La chance me disais je, quand tout d'un coup il entrait avec un plateau de goûté. 

Il souriait en disant " t'es sur que ça va Keï?" 

"non! pas du tout lui répondais je!" sèchement.