Annoying Life

Chapitre -2- •ᴘᴀʀᴛɪᴇ 𝟶𝟸•

Konoha 8heures et une 1 minutes.

                                    //Bureau du Hokage\\

Elle se décida à ouvrir la porte d'un grincement, sous le regard perplexe du hokage.

-Vous êtes en retard. Dit-il la regardant entrer.

-Désolée, cela ne ce reproduira plus. Fut-elle nerveusement.

Kakashi laissait échapper un soupir.

-Ce n'est pas grave. Le plus important c'est que vous soyez là.Vous pouvez suivre les chantiers de rénovation de l'académie.

-Navrée, mais je ne crois pas être qualifiée pour ça. C'est ce qu'elle répondit ennuyée. Je crois que c'était surtout parce qu'elle n'avait aucunes envies de faire ce travail.

-Si tu devrais être capable de faire un rapport. Insistât il.

-Je ne connais pas très bien la ville, cela risque de prendre du temps avant que je trouve le lieu. Et puis j'ai un collègue qui pourrait mieux faire ce travail.

-Qui ça ? Shikamaru. Il n'est pas encore arrivé alors...

-Si on ai venu ensemble, il doit être derrière la porte.

Traîtresse.

-SHIKAMAKU, tu comptes rester combien de temps devant cette porte. S'écriait-il.

Le plus longtemps que j'aurais pu tout simplement.

-Allez,active toi! Ajouta le patron.

Un grognement m'échappa...
-C'est bon je suis là.

-Tu vas l'accompagner à l'académie s'il te plaît. Après tu fais ce que tu veux de ta journée.

-Il pourrait s'en charger seul? C'est plus simple. Proposa t'elle.

-Hors de question de sacrifier ma journée pour ça. Et puis il donne trop le choix, ça m'ennuie tout autant que toi de devoir le faire, mais...

-Très bien, allons-y. Me coupa t'elle.

-Attends je d'abord donner ça à Kakashi. Lui présentant la pâtisserie.

-C'est pour moi? Fit il surpris, inspectant le sachet.

-Oui, de la part de la nouvelle.

-Hn, merci dit il simplement. Pendant que nous sortions.

Elle avait l'air plus pressé que moi, marchant devant comme si elle savait on allait, comme hier.

Je me demande à quoi cela servait de marcher vite si c'était pour m'attendre devant. Honnêtement ça aurait été plus agréable de marcher ensemble comme allée... Quand on s'effleurais presque et que...

Je m'égare. Réalisais-je lorsque je l'a perdu de vu.

Galère n'était il pas à moi de m'accompagner?
Pourquoi ne pas me rendre la tâche facile en me suivant sans broncher.

J'avais bien compris après ces deux jours qu'elle n'était pas du genre à vouloir rendre la vie des gens facile.

Elle doit sûrement être en train de m'attendre au bas du bâtiment.

Devrais-je me dépêcher ?
Je suppose que c'est pour cela qu'elle à agit ainsi. Dommage je n'allais pas lui offrir se plaisir.