Conquise ou soumise

62 4 1
                                    

J'ai rien à faire aujourd'hui. J'alla chez les Salvatore. J'entra et les trouva dans le salon.

Damon : Elena est asservie. C'est vrai.
Alyzée : j'avais raison.

Ils se retournèrent vers moi.

Stefan : tu le savais ?
Alyzée : depuis le concours. Alors qu'est-ce qu'on va faire ?
Damon : je cherche. Tu veux nous aider ? Regardez.

Je m'approcha et regarda la photo avec Stefan.

Damon : tu te souviens Stefan ?
Stefan : la Nouvelle-Orléans. En 1942, pour être exacte.
Alyzée : il y avait quoi à la
Nouvelle-Orléans en 1942 ?
Damon : à part le bourbon et les perles, il y avait moi et Stefan.
Stefan : ah oui. Comment s'appelait cette fille que tu fréquentais ?
Damon : ce n'était pas n'importe quelle fille. C'était Charlotte. Elle s'est éprise de moi dès le premier jour. Quand elle m'a demandé de la transformer, j'ai accepté.

Souvenirs de Damon, Nouvelle-Orléans, 1942.

Charlotte venu s'asseoir à côté de moi.

Damon : bonsoir.
Charlotte : bonsoir.
Damon : as-tu choisi la personne dont tu te nourriras, ce soir ?

Elle tourna la tête vers le chanteur.

Charlotte : lui. Il m'a l'air savoureux.
Damon : excellent choix, Mlle Charlotte. Je vais arranger ça. Et maintenant, si quelqu'un s'approche de mon verre, sois sans pitié.

Je m'approcha du chanteur.

Damon : passez nous voir après le spectacle, on dînera.

Je me retourna vers Charlotte et la vu se disputer avec un serveur. Elle lui brisa la nuque. Je revenu en courant et rattrapa l'homme. Je le fis s'asseoir.

Damon : qu'est-ce que tu as fait ?
Charlotte : il a touché ton verre. Tu m'as dit d'être sans pitié. Je croyais que ça te ferait plaisir.

Fin des souvenirs de Damon, Mystic Falls, de nos jours.

Damon : alors j'ai pigé.
Alyzée : elle était asservie à toi.
Stefan : tu en as donc profité jusqu'à ce que tu te lasses.
Damon : elle me l'a fait liaison fatale. J'ai arrangé le coup.
Alyzée : tu as fait comment ?
Damon : tiens.

Il me tendit une carte.

Alyzée : qui est Valerie La Marche ?
Damon : la sorcière qui nous a aidé à rompre le lien de Charlotte.

Damon se leva.

Damon : fait vos bagages, Stefan. On retourne sur Bourbon Street.
Alyzée : je sens qu'on va s'éclater.
Damon : ah, non. Tu viens pas.
Alyzée : Je viens un point c'est tout.

Damon souffla et accepta. On partit à la Nouvelle-Orléans.

On arriva et on marcha dans la ville.

Alyzée : j'adore toujours cette ville.
Stefan : c'est la même ville, mais plus lumineuse.
Damon : tu n'es pas revenu depuis 1942 ?
Stefan : pas depuis que je suis parti faire la guerre et pas toi.
Damon : il fallait quelqu'un pour distraire les femmes délaissées par les hommes.

Damon reçu un message.

Damon : bien. Elena est avec les filles à la maison, où elle est en sécurité. Bien, elles se sont servies dans la cave. Je lui ai dit d'être à l'aise
Stefan : tu lui as dit de se mettre à l'aise, elle a obéi.
Damon : ce n'est pas au sens littéral.
Stefan : vraiment ? Nomme-moi une chose que tu lui as demandé et que tu n'as pas eu.
Damon : ce que je n'ai pas eu ? Des reproches, de la culpabilité. Je pige. Tu es furieux qu'Elena t'ait laissé car elle a des sentiments pour moi. Et tu penses que c'est le lien.
Stefan : évidemment.
Damon : pourquoi ? C'est impossible qu'elle ait des sentiments pour moi ?
Stefan : non. C'est impossible qu'elle soit aveugle au point de ne pas voir que tu n'es pas bien pour elle.

Un remède ? Impossible Où les histoires vivent. Découvrez maintenant