Un remède ? Impossible

Originellement vôtre

J'arriva chez tata, je monta dans le couloirs et je tomba sur la chambre de tata qui s'ouvre. Stefan en sortit.

Alyzée : tu t'en vas déjà, Stefan ?

Rebekah se leva et mit un peignoir.

Rebekah : tu es chez moi, Lyz. Je n'apprécie pas qu'on envahisse ma vie privée.
Alyzée : désolé d'interrompre ce sordide rendez-vous galant, mais il y a urgence. As-tu oublié que tonton se balade avec un pieu et une envie de meurtre en tête ?
Rebekah : il a essayé de me tuer. Je n'ai pas oublié.
Alyzée : malheureusement, il semble avoir fui avec les dagues de Nik.
Rebekah : pauvre Klaus. Comment fera-t-il sans ses précieuses dagues ? C'est si pratique quand il veut mettre fin à une conversation.
Alyzée : sa peur irraisonnée de Silas a fais basculer Kol. Il faut le trouver avant qu'il ne fasse plus de mal. Tu as la dernière dague et de la cendre blanche. Donne-les-moi.
Rebekah : et je resterais sans protection ? Tu peux classer ta requête sous "jamais de la vie". Maintenant tu peux partir, je n'aime pas qu'on s'invite chez moi sans permission.

Rebekah partit à la douche. Je regarda Stefan.

Alyzée : il me faut cette dague, Stefan. Essaie de la raisonner.
Stefan : pourquoi tu n'essaies pas, toi ? Je rentre à la maison jouer le gardien de prison. Mon frère est enfermé depuis que Kol l'a envoûté pour tuer Jeremy.
Alyzée : c'est justement ça dont je parle. Si Kol est libre, Jeremy ne vivra jamais son premier bal et on peut dire adieu au remède. Mais si on enfonce la dague dans Kol, Damon sera désenvoûté, Jeremy vivra et nous pourrons tous envisager une Elena humaine.

Je vais jouer la baby-sitter pour Damon. Stefan donna de l'eau à Damon. J'apparut dans son champs de vision. Il se leva et prit la bouteille d'eau.

Alyzée : bonjour, Damon.
Damon : qu'est-ce que tu fais là, Aly ?
Alyzée : du baby-sitting.
Stefan : un peu de sang toutes les deux heures pour qu'il ne se dessèche pas.

Il me donna deux tubes remplis de sang.

Stefan : s'il prend trop de forces ou qu'il t'embête, saigne-le de nouveau.
Damon : alors tu me boudes ? C'est ce que tu as trouvé de mieux ? Il m'en veux encore d'avoir couché avec Elena.
Alyzée : tu en es sûr ? Parce que j'ai surpris ce matin ton frère se glissant hors du lit de ma tante. Ce qui suggère qu'il est passé à autre chose.
Damon : eh bien. Tu t'inspires de mon guide pratique sur comment se venger par le sexe.
Stefan : je vous laisse à cette récréation sympathique entre méchants. Je te préviendrai quand j'aurai la dague de Rebekah.

Stefan partit.

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Rebekah :

Je suis dans mon dressing pour cherchais une tenue pour le lycée. Stefan arriva.

Rebekah : les couleurs, les tissus... c'est tragique, les années 80. Les épaulettes sont aussi nuls que les blouses puritaines du 17e.
Stefan : c'est pour la soirée dansante ?
Rebekah : pourquoi ? tu m'invites ?
Stefan : en fait, ça a été annulé.

Je me stoppa et me retourna vers Stefan.

Rebekah : alors pourquoi es-tu là ? C'est encore pour la dague ?
Stefan : tu as un problème de confiance.
Rebekah : c'est un sain scepticisme. Tu voulais t'éclipser, ce matin. Je ne suis pas idiote.
Stefan : désolé. C'est encore nouveau pour moi.
Rebekah : tu le regrettes ?
Stefan : non.
Rebekah : tu veux recommencer ?
Stefan : peut-être.
Rebekah : même si je ne te donne pas la dague ?
Stefan : tu crois que je coucherais avec toi pour avoir la dague ?
Rebekah : ne prends pas cette air innocent. Tu as fait des tas de choses pour arriver à tes fins. Je vais ranger ces portants. Encore une tentative avortée de participer à une soirée dansante.
Stefan : pourquoi est-ce important pour toi ?
Rebekah : ça ne l'est pas. Je m'ennuie.
Stefan : c'est ça. On peut quand même y aller, si tu veux.
Rebekah : pas si c'est annulé.
Stefan : depuis quand tu te plies aux règles ?