Croquer la vie

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Un vampire allait attaquer Hayley. J'arriva et le dégagea. Hayley tomba par terre.

Alyzée : fais gaffe, mec. Ce n'est pas une façon de traiter une dame.

Je lui mis un coup. Klaus arriva derrière lui et le mordu. J'aida Hayley à se lever.

Hayley : t'es venue Az... et avec Klaus.
Alyzée : tu as dit sur c'était urgent.

L'homme partit.

Alyzée : ne t'en fais pas pour lui. Il sera mort d'ici demain soir.
Hayley : et s'il y en a d'autres ?
Alyzée : tu as été assez bête pour négocier avec Katerina Petrova. Elle t'a utilisée pour trouver le remède. Tu es devenue un problème. Tu auras de la chance si tu vis.
Hayley : vous deviez me protéger.
Klaus : on le fera. Des que tu nous auras dit tout ce que tu sais sur Katerina.

On rentra à la maison.

Damon toqua, j'alla ouvrir.

Alyzée : tiens. Quelle drôle de surprise.

Il entra.

Damon : j'ai fait une liste. Celle des trucs pour lesquels tu es nulle.

Je le regarda.

Damon : un : garder Katherine en laisse. Tu y arrives pas. Deux : cacher tes conversations téléphoniques secrètes avec cette traîtresse d'Hayley. Oui, bien. Où est-elle ? Que sait-elle sur Katherine ?
Alyzée : je devais t'aider ? Tu as tué mon oncle, tu m'as coincé dans le salon des Gilbert.
Damon : il y a des priorités, Aly. Tu as un gros problème. Katherine a le remède. J'ai l'impression qu'elle veut l'enfoncer dans la gorge de Klaus. On retrouve Katherine, je file le remède à Elena, on gagne tous. Laisse-moi interroger Hayley sur Katherine.
Alyzée : je ne peux pas t'aider. On ne touche pas Hayley. Mais Klaus a eu une prise de bec avec un vampire qui pourrait savoir où est Katerina. Il la peut-être mordu un peu fort. Il lui reste sans doute peu de temps pour papoter.

Il partit. Je retourna dans la salle. Hayley vient de finir de manger. Je m'assis sur les genoux de Klaus.

Klaus : alors, tu es reposée. Tu as bien mangé. Parle-nous de Katerina.
Hayley : la plupart des hommes prennent leur pied en torturant et intimidant. Toi, c'est les bons vins et la bonne chère.

Je rigola.

Klaus : avec toi, je préfère l'hospitalité au conflit. Mais je peux changer d'avis sur un coup de tête.
Alyzée : où est Katerina ?
Hayley : vous croyez vraiment que je sais ?
Alyzée : tu lui as filé le tuyau pour trouver ce remède. En retour, elle t'envoie un larbin pour t'éliminer. Que t'a promis Katerina ?
Hayley : j'étais à la Nouvelle-Orléans à la recherche de mes vrais parents. Katherine m'a trouvée et à promis de m'aider.
Alyzée : une orpheline. Ça explique ta bravade. C'est ce que ça fait, le sentiment d'abandon.
Hayley : on dirait que tu connais.
Alyzée : on est les seuls à pouvoir te protéger. Je suis ravie de le faire, à condition que tu collabores.

J'emmèna Hayley dans l'atelier de Klaus. Elle regarda ses peintures.

Hayley : je déteste. C'est trop. Je ne comprends pas.

Elle toucha à tout. Klaus va péter un câble.

Hayley : je m'en fiche. Celui-là.

Elle prit un tableau.

Hayley : ne me donne pas envie de vomir.

Je rigola.

Hayley : pourquoi il l'a peint ?
Alyzée : pour lui, peindre est la métaphore du contrôle. Il choisit tout : la toile, la couleur. Enfant, il ne comprenais ni le monde, ni sa place dedans. L'art lui a appris que le volonté pouvait forger notre vision du monde. Il en va de même pour la vie, à condition de refuser toute entrave.
Hayley : alors c'est son truc ? Montrer quelques croûtes à une nana, se plaindre sur l'enfance, et avec ça, je cacherais tous mes secrets ? Sa a peut-être marcher avec toi, Az mais pas avec moi.
Alyzée : c'est pas vraiment comme ça que sa c'est passer. Mais l'art est l'une des choses que j'aime chez lui.
Hayley : et il fait ce qui lui plaît, y compris pourchasser mon ami Tyler pendant un siècle.
Alyzée : sûrement pas un siècle. Jusqu'à ce qu'il le tue.
Hayley : tu es une belle parleuse, mais en vérité, il l'a laissé fuir. Il sait que s'il le tue, tu lui pardonneras sûrement pas.
Alyzée : s'il se contentait de tuer Tyler, sa vengeance se dissiperait vite. Le condamner à la paranoïa à vie, à la peur, c'est ça, sa punition. Tu n'as jamais cru que tu aurais un chance avec Tyler, si ?
Hayley : il aurait peut-être quitté Caroline si j'avais administré ce remède à Klaus.

Je rigola.

Alyzée : s'il a la moitié de ta détermination, il survivra peut-être à cette année.
Hayley : il ne faut pas de la détermination. Il faut des alliés. Un réseau de gens prêts à tout pour nous, y compris poursuivre et éliminer ceux qui posent problème. C'est comme ça que Katherine a réussi à échapper à Klaus.
Alyzée : tu connais peut-être les noms de ceux qui aident Katerina ?
Hayley : j'en connais peut-être un ou deux. Je pourrai peut-être même te donner leurs noms.

Elle me donna leurs noms. On continua à parler.

Je raccrocha mon téléphone.

Alyzée : ma tante m'informe que ton agresseur vampire est mort. Tu es hors de danger et libre de partir.
Hayley : je repars à la recherche de mes parents.
Alyzée : j'avais 1 et demi quand ma mère est morte. J'ai grandis pendant 1015 ans en croyant vivre avec ma famille mais j'ai appris il n'y a pas longtemps que je n'est aucun lien de sang avec eux. Mais c'est ma famille quand même. Je veux faire des recherches sur mon père. Je pourrai t'aider avec tes parents ? Enfin si tu veux.
Hayley : pourquoi pas. Je mentant bien avec toi. Une première d'ailleurs.
Alyzée : je finis quelques trucs et je te rejoins à la Nouvelle-Orléans.
Hayley : avec Klaus ?
Alyzée : rien que nous deux.
Hayley : sa me vas. Je t'appelle quand je suis arrivé et si je trouve quelque chose.
Alyzée : à bientôt Hayley.
Hayley : à bientôt Az.

Hayley partit. Klaus arriva.

Alyzée : ça v...

Il m'embrassa, je répondis à son baiser. Je lui enleva son t-shirt. Il me posa sur la table. J'enlèva mon haut. Il passa sa main sur ma poitrine et m'embrassa le cou...

Je me réveilla dans notre lit

Klaus : c'était bien, mon amour ? Tu vas vraiment partir ?
Alyzée : c'est pas contre toi. J'ai besoin de changer d'air. Tout ce qui s'est passé avec le remède et tout. Et je veux connaître mon vrai père.
Klaus : tu reviendras ?
Alyzée : je pars pas maintenant. Dans quelques jours.
Klaus : tu vas me manquer. Nous deux, on était très pris par le remède. On s'est délaissés.
Alyzée : rattrapons avant que je parte.

Je me mis sur lui et l'embrassa.

Klaus : avec plaisir.

Je lui embrassa le cou, puis le torse. Il me retourna...

Un remède ? Impossible Où les histoires vivent. Découvrez maintenant